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  • Conférence de presse sur la compétition étudiante canadienne de drones

    22 avril 2013

    Conférence de presse sur la compétition étudiante canadienne de drones

    Alma, Québec - le 22 avril 2013 – Le conseil municipal de la Ville d’Alma, les dirigeants de Systèmes Télécommandés Canada, de l’Aéroport d’Alma et du Centre d’excellence sur les drones sont heureux de vous inviter à la Compétition étudiante canadienne de drones.  Une centaine d’étudiants de partout au Canada prendront d’assaut l’aéroport du 3 au 5 mai prochains. À leur arrivée, les étudiants devront faire voler leur appareil qu’ils auront bâti de leurs propres mains à partir de systèmes de contrôle situés au sol. Ils seront mis au défi de détecter diverses cibles placées sur le site  et de décoder celles-ci. Le Colonel Paul Prévost, Commandant des 2e et 3e escadres de Bagotville, a généreusement accepté la présidence d’honneur de l’événement. La cinquième édition de la compétition étudiante sera ouverte pour la toute première fois au public. Les personnes désireuses d’en apprendre davantage sur le monde fascinant de l’aéronautique pourront se rendre sur place le samedi 4 mai et le dimanche 5 mai de 9h00-17h00. Tout au long de ces deux journées, vous pourrez syntoniser votre radio aux stations de RNC Média, Planète et RadioX, pour entendre des capsules sur la compétition. L’entrée est gratuite pour les enfants de 12 ans et moins et de 3$ pour les personnes de 12 ans et plus. Pour les visiteurs, une cantine mobile sera sur place ainsi que des jeux gonflables pour les enfants. Un moment fort des activités sera un survol de CF-18 le samedi midi. Plusieurs kiosques et de nombreux appareils statiques seront en démonstration. Divers drones pourront être observés de plus près, dont le drone MISKAM qui vole à Alma depuis plus d’un an déjà. Des entreprises viendront aussi présenter leurs services. « Nous sommes gracieusement accueillis cette année par le Centre d’excellence sur les drones et la Ville d'Alma. L'événement 2013 est en voie de devenir notre meilleure compétition à ce jour et nous nous réjouissons d'avance de la réussite de l’événement. Le succès continu de notre compétition  étudiante est le résultat direct du soutien continu de nos commanditaires et de la ville hôte » déclare M. Paul Drover, directeur exécutif d’USC. « La Ville d’Alma est fière d’accueillir la compétition étudiante de drones. Cet événement est ouvert au public pour la première fois au Canada. C’est toute la région du Saguenay-Lac-St-Jean qui en profitera » ajoute le Maire d’Alma M. Marc Asselin. « Le Centre d’excellence sur les drones continue d’évoluer et avec la tenue de la compétition, prouve son leadership  dans le développement des drones aux niveaux national et international » a pour sa part déclaré M. Pascal Pilote, président du CED. Le Centre d’excellence sur les drones a recruté près de 60 bénévoles de la région pour mener à bien la réalisation de cet événement d’envergure qui attirera des entreprises et des commanditaires nationaux. Ceux-ci, ainsi que tous les étudiants, leurs accompagnateurs et le comité organisateur seront hébergés à Alma durant leur séjour. De plus, de nombreuses entreprises locales ont généreusement accepté notre invitation à participer à l’événement en tant que commanditaire. Elles pourront profiter d’une visibilité des plus intéressantes lors de la compétition. D’importantes retombées économiques pour la ville d’Alma sont à prévoir. La Compétition canadienne de drones Unmanned Systems Canada –  Systèmes Télécommandés Canada (USC-STC) organise la compétition depuis 2007. L’objectif principal visé par les organisateurs est de promouvoir et de développer l'expertise et l'expérience canadiennes dans les technologies de systèmes sans pilote aux niveaux collégial et universitaire. Le Centre d’excellence sur les drones (CED) a pour mission de développer un centre international d’expertises et d’innovations en conception, application et exploitation de drones. La tenue de la compétition sur le site de ses installations est une occasion unique pour le CED de promouvoir ses services et son expertise et une occasion à ne pas manquer pour démystifier le domaine des drones pour les visiteurs.

  • Deux nouveaux membres adhèrent au CED

    11 février 2013

    Deux nouveaux membres adhèrent au CED

    Alma, le 8 février 2013 – L’équipe du Centre d’excellence sur les drones (CED) est fière de vous annoncer l’adhésion au CED de l’École de technologie supérieure (ÉTS) et de l’École nationale d’aérotechnique (ÉNA), deux institutions d’enseignement québécoises. Ces ajouts portent à 15 le nombre de partenaires impliqués dans le CED. ‍ ‍ ‍L’École de technologie supérieure est une constituante du réseau de l’Université du Québec. Spécialisée dans l’enseignement et la recherche appliqués en génie et en transfert technologique, elle forme des ingénieurs et des chercheurs reconnus pour leur approche pratique et innovatrice. Depuis sa création, elle entretient un partenariat unique avec le milieu des affaires et l’industrie, tant avec les grandes entreprises que les PME.  « Nous sommes très heureux à l’ÉTS de participer activement à ce Centre d’excellence pour diverses raisons : des professeurs s’y engageront, de nouvelles collaborations s’y établiront et de nouvelles connaissances s’y développeront », a déclaré M. Sabin Boily, directeur de l’innovation et des relations avec l’industrie de l’École de technologie supérieure. « Mais au-delà de ceci, étant moi-même originaire d’Alma, je suis fier de pouvoir apporter notre modeste contribution au développement technologique et scientifique de la région ». ‍ ‍ ‍ L’École nationale d’aérotechnique (ÉNA), un campus du collège Édouard-Montpetit, est la plus importante maison d’enseignement en aérotechnique en Amérique du Nord et elle est la seule au Québec à former des techniciens en aéronautique. C'est principalement à l'ÉNA que l'industrie puise sa main-d’œuvre technique spécialisée en construction aéronautique, en maintenance d’aéronefs et en avionique, et qu’elle assure, dans ces secteurs, le perfectionnement de son personnel technique. «Nous avons le souci de nous tenir au fait des innovations technologiques du secteur de l’aérospatiale, et le développement des drones se situe dans cette perspective», souligne Monsieur André Marcil, directeur des Partenariats d'affaires de l'ÉNA et du Centre de services aux entreprises et de formation continue. ‍ Ces deux institutions d’enseignement sont reconnues au sein de l’industrie aérospatiale comme des organismes dispensant une formation de pointe. Leurs programmes, tant au niveau technique que de l’ingénierie, forment des étudiants reconnus par de la formation régulière ou continue. Très impliquées dans le domaine de la Recherche et du Développement, l’ÉTS et l’ÉNA sont des partenaires majeurs pour le CED. L’ajout de ces institutions d’enseignement vient apporter au CED des éléments clés dans le développement de sa branche «Formation». « Le Centre d’excellence sur les drones cherche toujours à diversifier son créneau », affirme M. Pascal Pilote, président du CED. « L’adhésion de membres de la qualité de l’ÉNA et de l’ÉTS est pour nous un signe extrêmement positif. Il confirme l’intérêt du milieu aéronautique à travailler conjointement avec le Centre.» Vous pouvez obtenir davantage de renseignements sur le Centre d’excellence sur les drones au: www.cedalma.com   -30- Pour de plus amples informations concernant le CED, vous pouvez rejoindre : Marc Moffatt - gestionnaire R&D au CED au 418-669-5129 ou à marc.moffatt@ville.alma.qc.ca

  • L'espace aérien d'Alma réservé pour 2013

    22 janvier 2013

    L'espace aérien d'Alma réservé pour 2013

    Le Point du Lac St-Jean, le mardi 25 septembre 2012 lepoint.ca Cet événement d'envergure, qui attire chaque année des centaines de personnes, permettra aux étudiants en aéronautique de démontrer leurs compétences. Les concurrents devront dessiner leurs plans, construire l'avion et faire voler leur drone. Des mises en situation d'urgence seront également évaluées. Aux commandes sans pilote Marc Moffatt, gestionnaire au CED, mentionne que neuf équipes universitaires s'étaient affrontées l'an dernier. « Nous espérons cette année, accueillir de 10 à 12 équipes provenant des quatre coins du pays », ajoute-t-il. Le président de la compétition et ancien concurrent, Charles Vidal, déclare pour sa part, qu'année après année, ils sont étonnés par les systèmes bâtis par les étudiants. Le Centre d'excellence sur les drones (CED) a confirmé que la 5 e édition de la compétition étudiante nationale de petits avions télécommandés (drones) se tiendra à l'aéroport d'Alma, du 3 au 5 mai 2013. De futurs employeurs    Si cette compétition permet aux étudiants de démontrer leurs habiletés, elle leur permet aussi de se trouver un emploi. En effet, de nombreuses compagnies canadiennes d'envergure internationale commanditent l'événement et sont présentes pour faire du recrutement. Une belle opportunité de se démarquer. La Ville d'Alma et le CED sont très heureux de la tenue de l'événement dans la région. « Les préparatifs sont déjà enclenchés en vue de la tenue de cette importante compétition qui fera la promotion du CED dans la région et à la grandeur du pays », souligne Pascal Pilote, conseiller municipal et président du CED. Les retombées seront assurément intéressantes pour Alma, puisque tout ce beau mon-de séjournera dans la ville de trois à quatre jours. [...] Source: http://virtuel.lepoint.canoe.ca/doc/hebdo_le-point/journal_le_point_du_lac_2012_09_25/2012092101/10.html

  • Un premier drone en février

    23 novembre 2012

    Un premier drone en février

    (ALMA) Les attentes sont immenses pour le Centre d'excellence sur les drones d'Alma (CED) qui pourrait engendrer des retombées économiques de 70 millions$ d'ici à 2018. C'est à l'intérieur d'un hangar de l'aéroport d'Alma que se déroulait, mardi soir, la première séance d'information et de consultation publique concernant cet ambitieux projet. Pour l'occasion, les responsables du projet étaient réunis à une même table pour répondre aux interrogations de la centaine de citoyens présents. Au terme de l'assemblée, un constat s'imposait: décollage réussi pour le CED.

  • Drones, technologies et société

    22 novembre 2012

    Drones, technologies et société

    La société se penche avec raison sur l'utilisation des drones. Voir l'article de l'actualité de décembre 2012 qui bien qu'il ne traite pas spécifiquement du cas des drones utilisés au CED, ouvre la porte à bien des questionnements qu'il faudra surveiller dans les prochaines années en terme de vie privée. Le CED surveille cet aspect important pour la vie privée des citoyens et participera d'ailleurs au groupe de travail qui écrira la réglementation.

  • Une compétition canadienne de véhicules automatisés sans pilote à Alma

    18 septembre 2012

    Une compétition canadienne de véhicules automatisés sans pilote à Alma

    Le Centre d'excellence sur les drones d'Alma accueillera la prochaine compétition étudiante nationale de véhicules automatisés sans pilote. L'événement, qui aura lieu du 3 au 5 mai 2013, met au défi des étudiants qui devront dessiner les plans, construire et faire voler leur propre drone. Les étudiants réaliseront diverses tâches liées à l'identification de feux de forêts. Le président de la compétition, Charles Vidal, indique que les étudiants en génie proviendront de dix à douze universités. « Les équipes étudiantes auront besoin d'aller trouver des petits points chauds, du personnel, des véhicules puis des habitations », dit-il. L'aéroport d'Alma était en compétition avec des sites au Labrador, au Manitoba et en Alberta pour cette compétition. Le gestionnaire du Centre d'excellence sur les drones, Marc Moffatt, mentionne qu'une session de vols d'essai de drones a eu lieu à Alma, il y a deux semaines. « Ils ont eu la chance de voir l'équipe soutenir les opérations de drones, explique M. Moffat. Je pense que c'est ça qui a su les convaincre de nos capacités de tenir la compétition ici, à Alma. » Marc Moffatt croit que la compétition donnera de la visibilité au centre almatois. « Ça amène environ 120 à 150 personnes, ça amène la recherche universitaire, ça amène aussi l'intérêt des compagnies dans le domaine aérospatial », souligne-t-il. Les organisateurs de la compétition devront obtenir les autorisations de Transports Canada, comme pour chaque période de tests où des drones sont mis en vol. Source: http://www.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2012/09/18/007-competition-etudiante-drone_alma.shtml ‍

  • Compétition étudiante nationale au Centre d’excellence sur les drones

    14 septembre 2012

    Compétition étudiante nationale au Centre d’excellence sur les drones

    Alma, Québec - le 17 septembre 2012 – Le conseil municipal de la Ville d’Alma, les dirigeants de l’aéroport d’Alma et du Centre d’excellence sur les drones (CED) sont heureux de vous annoncer que la prochaine compétition étudiante nationale de véhicules automatisés sans pilote aura lieu sur le site de l’aéroport d’Alma au Centre d’excellence sur les drones, du 3 au 5 mai 2013. Cette compétition met au défi des étudiants de niveaux collégial et universitaire à la grandeur du pays qui devront dessiner les plans, construire et faire voler leur propre drone. Les étudiants réaliseront diverses tâches liées à une situation d’urgence courante, soit l’identification de feux de forêts. D’ici le mois de mai 2013, les concurrents pourront mettre en pratique les plans dessinés en faisant voler leur appareil selon les normes applicables de Transports Canada, et sous la supervision d’experts de l’industrie. La compétition permettra aux étudiants de côtoyer de futurs employeurs afin de leur démontrer leurs capacités et ainsi augmenter leurs chances de se trouver un emploi. Systèmes Télécommandés Canada (Unmanned Systems Canada), le point de ralliement des systèmes de véhicules télécommandés au Canada, est une association sans but lucratif enregistrée au Canada depuis 2003 pour représenter les intérêts de la communauté des systèmes de véhicules télécommandés au Canada.  C’est avec grand succès que Systèmes Télécommandés Canada prend en charge l’organisation de la compétition depuis 2007, et ce, toujours avec grand succès! L’édition 2013 sera tenue pour la première fois à Alma. La diversité des paysages offre un endroit idéal pour réaliser des tests de véhicules automatisés sans pilote. « Année après année, nous sommes étonnés des systèmes bâtis par les étudiants, » déclare le président de la compétition et ancien concurrent, Charles Vidal. « Les compétiteurs créent des systèmes avec des moyens restreints tout en les dotant de capacités étonnantes. Cela démontre que le Canada s’approprie un rôle de leader en aviation robotique qui n’est pas prêt de s’estomper puisque ces étudiants gradueront et se joindront à l’industrie. » « La Ville d’Alma et le Centre d’excellence sur les drones sont très heureux de la tenue de l’événement dans la région, » déclare Pascal Pilote, conseiller municipal et président du CED. « Les préparatifs sont déjà enclenchés en vue de la tenue de cette importante compétition qui fera la promotion du Centre d’excellence sur les drones dans la région et à la grandeur du pays. De plus, l’évènement  démontrera, sans l’ombre d’un doute, les capacités des étudiants et la qualité des experts canadiens du domaine de l’aéronautique qui superviseront leur démarche. » Le Centre d’excellence sur les drones est un organisme sans but lucratif qui a pour mission de développer un centre international d’expertises et d’innovations en conception, application et exploitation de drones. Les services sont offerts tant aux entreprises privées que publiques. Le CED collabore avec Transports Canada vers l’intégration des véhicules automatisés sans pilote dans l’espace aérien canadien. Depuis mars 2012, des vols de drones sont effectués dans la région d’Alma et l’avenir s’annonce prometteur pour le Centre. Consultez le site de Systèmes télécommandés Canada pour les inscriptions. Des équipes de partout au pays participent à la compétition à Alma en 2013. La compétition se déroule en deux phase. La première étant un rapport technique et la deuxième les tests au sol qui seront réalisés ici au CED. Bonne chance à tous! BLACKBIRD - Carleton University (Ottawa, ON) [hr] DRONOLAB - École de Technologie Supérieure (Montréal, QC)   [hr] SMART BIRD - École Polytechnique (Montréal, QC)     [hr] GUARDIAN - Simon Fraser University (Vancouver, BC)   [hr] AERONAUTICS UAV DIVISION - University of Toronto (Toronto, ON)   [hr]   THUNDER BIRD UAV - University of British Colombia (Vancouver, BC) [hr] COBRA - University of New Brunswick (Fredericton, NB) [hr] Aerial Robotics Group (UAARG) - University of Alberta (Edmonton, AL) [hr]   VAMUdeS - Université de Sherbrooke (Sherbrooke, QC) [hr] UAV-UQAC - Université du Québec à Chicoutimi (Saguenay, QC)   [hr] PHASE 1 Un jury, composé d'experts canadiens en la matière, a terminé son examen indépendant des documents techniques présentés par chaque équipe. Les juges ont préparé une évaluation numérique et un ensemble d'observations pour cet exercice. Les gagnants de la phase 1 dévoilés le 23 mars 2013: 1ère Place:  Cobra - University of New Brunswick 2e Place:     Explorer - University of Toronto 3e Place:    VAMUdeS - Université  de Sherbrooke  Plus d'infos sur le site de Systèmes Télécommandés Canada, PHASE 2 Les gagnants de la phase 2 seront dévoilés lors d'un banquet à la Dam-en-terre à Alma le dimanche 5 mai. Plan de commandite Notre plan de visibilité offre de grands avantages aux partenaires participants. Choisissez le plan qui vous convient ou contribuez en biens et services. Toutes les informations sont dans le document ci-joint. Cliquez sur une image pour l'obtenir en pdf. Contactez-nous au 418-669-5104 pour plus d'information ou pour devenir commanditaires de l'événement. ‍ Bénévoles   Merci à tous les bénévoles qui ont répondu à l'appel! Nous avons terminé notre recherche de bénévoles. Rendez-vous lors de la compétition!     (ARCHIVE) Nous sommes présentement à la recherche de bénévoles pour la compétition étudiante nationale de drones. Remplissez ce formulaire pour nous indiquez vos préférences et vos coordonnées: Lors de cette compétition, en tant que bénévoles : • vous rencontrerez des étudiants en ingénierie de partout au pays ; • vous serez en contact avec le milieu aéronautique d’une manière toute spéciale ; • vous pourriez avoir l’occasion de pratiquer votre anglais (pas obligatoire de parler anglais). De plus, vous bénéficierez de : • repas sur chacun des quarts de bénévolat ; • café et grignotines ; • accès au site et à la compétition en tout temps ; • cadeaux spéciaux. Nos besoins en bénévoles sont dans les secteurs d’activité suivants • Sécurité • Stationnement • Accueil • Logistique • Animation médias sociaux • Services • Conducteur (permis classe 4B obligatoire) • Ravitaillement Vous pouvez communiquer avec nous par courriel à info@cedalma.com ou par téléphone 418-669-5104 si vous désirez plus d'informations. Commité organisateur Voici la liste des membres qui se rencontrent aux trois semaines depuis octobre 2012 pour l'organisation de la compétition. Du Centre d'excellence sur les drones: M. Nicol Minier, directeur général M. Marc Moffatt, gestionnaire R&D Mme Émilie Larrivée, agente de service R&D Mme Marie-Joëlle Turcotte, agente aux communications M. Carol Tremblay, Coordonnateur du service au sol Mme Marlène Talbot, Coordonnatrice administrative Mme Marie-Josée Pelletier, agente de comptoir De la Ville d'Alma M. Christian Briand, Services des loisirs et de la culture M. Martial Tremblay, Services des achats Du Centre de géomatique du Québec Mme Josée Dallaire, directrice générale De Tourisme Alma-Lac-St-Jean / Bureau des congrès d'Alma Mme Patricia Ouellet, Conseillère aux marchés des affaires & agréments  

  • Drones: l'industrie québécoise veut monter à bord

    3 août 2012

    Drones: l'industrie québécoise veut monter à bord

    (Montréal) Les drones sont promis à un bel avenir. Dans le secteur militaire, l'utilisation de ces appareils sans pilote est déjà en forte croissance. Dans le secteur civil, il leur faudra encore franchir quelques obstacles pour prendre toute la place qui pourrait leur revenir. L'industrie aéronautique québécoise entend bien participer aux deux secteurs. Un drôle d'oiseau a pris son envol à Alma ce printemps, un grand oiseau blanc portant une étrange huppe. Plus bizarre encore, une pellicule dissimulait son regard. Cet oiseau, le Miskam, semblait cependant savoir exactement où il allait. Rien d'étonnant, il était contrôlé à distance. Le Miskam (un mot innu qui veut dire «trouver») est un drone qui a effectué une série de vols au Centre d'excellence des drones (CED), à l'aéroport d'Alma, en vertu d'un programme élaboré par CAE et la société israélienne Aeronautics. «C'est un projet pilote qui permettra de démontrer les applications commerciales des drones», indique Martin Daigle, gestionnaire du projet Miskam chez CAE. Le marché commercial des drones est encore relativement petit. «C'est un marché en devenir, très prometteur», fait toutefois valoir M. Daigle. Les drones permettent d'accomplir des missions très longues, beaucoup trop longues pour un équipage humain. On parle notamment de vols de plus de 24 heures. Ils permettent aussi d'exécuter des tâches redondantes, monotones, comme de surveiller systématiquement un grand territoire sans cligner des yeux, sans céder à la somnolence. Les applications potentielles sont nombreuses: le soutien aux combats contre les incendies de forêt, l'inspection des infrastructures majeures, comme les pipelines, le suivi des changements climatiques, comme l'état des glaces, etc.. Prudence Au Québec, les clients potentiels sont encore prudents par rapport aux drones. «Nous n'utilisons pas ce type de technologie à ce moment-ci, mais nous regardons si ça peut être pertinent pour certaines de nos opérations, comme l'inspection de nos barrages et de nos lignes de transport, déclare un porte-parole d'Hydro-Québec, Louis-Olivier Batty. Nous essayons de voir ses avantages, son potentiel, mais c'est sûr que c'est une technologie qui semble intéressante.» À la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU), on prévoit faire des essais avec un drone à l'issue d'un combat contre un incendie de forêt. Il s'agira de voir si tous les foyers sont bien éteints. «Nous voulons faire voler un drone de nuit, équipé d'un système de thermovision, pour voir s'il reste des points chauds», explique une porte-parole de la SOPFEU, Eloïse Richard. À l'heure actuelle, ce sont des employés de la SOPFEU qui font ce travail, au petit matin, à bord d'un hélicoptère. Il n'est pas question pour l'instant d'utiliser un drone pour combattre les incendies. «Pour les feux, nous aimons l'oeil du pilote, note Mme Richard. Le pilote est capable de nous décrire l'intensité du feu, sa distance.» Du côté du ministère québécois des Ressources naturelles et de la Faune, on s'intéresse moins aux drones, même si les secteurs du territoire et des forêts ont parfois recours à des opérations aériennes, comme faire des relevés. Nicolas Bégin, porte-parole du ministère, indique que le secteur du territoire ne prévoit pas analyser cette technologie prochainement. «Du côté de Forêt Québec, on n'utilise pas d'appareils de cette nature pour les relevés et suivis, déclare-t-il. Il pourrait cependant y avoir un certain intérêt dans un avenir encore difficile à déterminer.» Le Miskam est la version canadienne du drone d'Aeronautics, le Dominator XP, de type MALE (moyenne altitude et longue endurance). Il s'agit en fait d'un avion bimoteur de Diamond modifié et équipé de capteurs. CAE a demandé à une entreprise de Trois-Rivières, Aviatech Services techniques, de faire les travaux d'ingénierie nécessaires pour installer un certain nombre de ces capteurs. Aviatech est spécialisée notamment dans l'intégration de systèmes et dans la conversion d'avions et d'hélicoptères pour des missions spécifiques. «Dans notre travail, il n'y a pas une grande différence entre les appareils avec pilote et les drones, affirme le directeur du développement des affaires d'Aviatech, Normand Landry. La grande différence, c'est que dans le cas d'un drone, il n'y a personne à bord pour voir comment les appareils modifiés vont réagir. Mais il faut respecter les mêmes règles en termes d'aérodynamisme et de structures.» De son côté, CAE fait appel à son expertise en modélisation et en simulation, donc en un environnement synthétique, pour faire l'interprétation des données obtenues par les capteurs. «Il y a des capteurs de plusieurs types, il y a donc un peu une surcharge d'information, explique Martin Daigle. Le but, c'est d'utiliser nos technologies pour combiner tout ça, pour simplifier, pour rendre cela adaptable pour des clients spécifiques.» Il y a toutefois un élément qui ralentit l'utilisation des drones à des fins commerciales au Canada: leur intégration au trafic aérien régulier. À l'heure actuelle, un drone ne peut voler que s'il obtient un certificat d'opérations aériennes spécialisées. Le Miskam a obtenu un tel certificat, mais il s'agit d'un processus plutôt long et compliqué. Transports Canada, la Federation Aviation Administration (FAA) des États-Unis et d'autres organismes de certification sont présentement en train d'étudier une façon d'intégrer les drones. «Nous avons plusieurs séries de clients qui attendent l'autorisation d'avoir recours à des services de type drone», indique M. Daigle. L'intégration des drones n'est cependant pas pour demain, à en croire Normand Landry. «Il y en a encore pour quelques années», laisse-t-il tomber. En attendant, le CED d'Alma veut générer de l'intérêt au sujet de ces appareils sans pilote. Le CED s'est lancé dans l'aventure des drones il y a quelques années. «Nous voulions faire rouler l'économie dans la région, diversifier la base d'emploi, raconte Marc Moffat, gestionnaire de la recherche et du développement pour le CED d'Alma. Ce que nous offrons, ce sont des services pour l'opération de drones à Alma.» Grâce à une entente avec la base des Forces canadiennes de Bagotville, les drones peuvent avoir accès à l'espace aérien de la base, un espace énorme qui s'étale jusqu'au nord du lac Saint-Jean. «Selon les ententes avec Transports Canada et NAV Canada, il faut éviter les villes et les villages», indique M. Moffat. Le projet Miskam a déjà des retombées intéressantes dans la région, avec la présence des équipes de CAE et d'Aviatech. «Pour l'instant, nous avons un seul drone, mais nous sommes à la recherche d'autres opérateurs», déclare M. Moffat. Définition: Selon le Petit Robert, un drone est un petit avion de surveillance, télécommandé ou programmé. Le mot provient d'un terme anglais qui signifie «faux bourdon». http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201208/03/01-4561947-drones-lindustrie-quebecoise-veut-monter-a-bord.php

  • 1000 drones peuvent voler au Canada

    28 avril 2012

    1000 drones peuvent voler au Canada

    Un millier. C'est le nombre de drones qui ont l'autorisation de voler au pays, selon Transports Canada. Parmi les 293 organismes ayant le droit de s'en servir, on retrouve la GRC et quatre corps policiers de l'Ontario et de l'ouest du pays. «On a pour le moment une autorisation limitée à l'espace aérien visible de l'aéroport, mais nous sommes en négociation pour pouvoir utiliser l'espace aérien du ministère de la Défense à Bagotville», explique Marc Moffatt, gestionnaire de la R&D au Centre d'excellence sur les drones de l'aéroport d'Alma, qui vient de commencer des vols pour la sécurité aéronautique CAE, fabricant de drones. «Transport Canada travaille à l'intégration complète des drones.» Lors de la formation du groupe de travail sur les drones de Transports Canada, en 2006, l'objectif était d'en arriver à une intégration complète en 2012. Cette échéance a été repoussée, mais les autorités aériennes américaines (FAA) viennent d'avoir un mandat politique du Congrès américain d'avoir une intégration en 2015. Le Canada a presque autant de certificats de drones que les États-Unis. Mais aucun des deux pays ne révèle quelle proportion de ces drones sont opérationnels. Transports Canada, par exemple, indique que l'un des certificats vise l'utilisation de drones pour la «publicité» soit remplacer les avions traînant une banderole derrière eux ; mais il est impossible de savoir s'il s'agit d'un projet de recherche ou d'une entreprise commerciale déjà existante. Les drones de CAE testés à Alma serviront à la surveillance des installations hydroélectriques et des incendies de forêt et à la détection de ressources naturelles. Selon l'organisme Systèmes télécommandés Canada, groupe professionnel du domaine, aucun corps policier québécois n'utilise de drone. «Nous nous en servons pour surveiller les grands accidents et catastrophes», explique Dave Cross, de la police régionale de Halton, en banlieue de Toronto. «Par exemple, nous nous en sommes servis pendant un déraillement de train. Nous les utilisons aussi pour l'analyse de certaines scènes de crime ou d'accident. Quand nous découvrons un corps dans un champ, nous faisons des photos aériennes avant que nos techniciens y aillent pour recueillir des indices sur le terrain, afin de limiter la contamination de la scène. Dans les accidents routiers importants, nous nous en servons aussi pour accélérer l'analyse et ainsi rouvrir la route plus rapidement.» Les drones de la police de Halton ne sont toutefois pas utilisés pour la surveillance dans le cadre d'enquêtes. Cette perspective alarme plusieurs défenseurs des droits civils aux États-Unis, qui envisagent un monde où des drones surveillent les allées et venues de tous en tout temps. Certains ont ainsi avancé que des drones pourraient surveiller toutes les voitures sur la route pour détecter si elles font des excès de vitesse, ce qui permettrait de coincer tous les contrevenants, sans exception.   Source: http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-canadienne/201204/28/01-4520001-1000-drones-peuvent-voler-au-canada.php ‍

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