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  • Entente commerciale entre le CED et Fly-n-Sense

    18 juin 2013

    Entente commerciale entre le CED et Fly-n-Sense

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE Pour publication immédiate Distribution et fabrication des systèmes STaFF®   SIGNATURE D’UNE ENTENTE COMMERCIALE ENTRE LE CENTRE D’EXCELLENCE SUR LES DRONES (QC) ET  FLY-N-SENSE (FR) Salon International de l'Aéronautique et de l'Espace Paris-le Bourget, le 18 juin 2013 - Le Centre d’excellence sur les drones (CED) et l’entreprise Fly-N-Sense (FR) sont fiers d’annoncer la signature d’une entente commerciale entre les deux (2) parties. Il s’agit d’une première entente du genre pour le CED, qui assure du fait le rôle de plate-forme dans la distribution, recherche et développement, et en voie de devenir fabricant de micro et mini drones de l’entreprise pour le marché québécois et canadien. D’une durée de deux (2) ans, l’entente se veut donc l’engagement du Centre d’excellence sur les drones d’Alma à favoriser la distribution et la mise en place de moyens de fabrication et d’assemblage des systèmes STaFF® au CED pour le marché québécois et canadien. Conçu par Fly-N-Sense, l’appareil constitue un outil d’intervention révolutionnaire qui pourrait notamment être utilisé pour les opérations de recherche et sauvegarde effectuées par le service des incendies des municipalités. « Cette entente marque la première prise de position stratégique à l’international pour Fly-N-Sense et exprime le souhait de développer des solutions adaptées au marché canadien grâce à la synergie que le CED réalise entre les acteurs canadiens et notre société », précise Christophe Mazel President, Fly-N-Sense. L'entente inclus un aspect de recherche et développement afin d'adapter les plateformes pour répondre au besoin opérationnel nord-américain. Solution STaFF® Le système STaFF® constitue le premier produit pour la lutte contre les feux de forêt en France. Conçu pour fournir des données cartographiques en temps réels, il permet une organisation plus efficace des interventions au sol, et conséquemment une maîtrise plus rapide des situations d'urgence. « Le CED est très fier d’assister cette entreprise étrangère dans ses activités économiques en sol québécois et canadien », explique le conseiller municipal à  la ville d’Alma et président-désigné du Centre d’Excellence sur les drones, Alain Fortin. Celui-ci renchérit : « Cette entente démontre une fois de plus l’avant-garde du CED. Le Centre d’excellence sur les drones (CED) est un organisme sans but lucratif travaillant à développer un centre international d’expertises et d’innovations en conception, application et exploitation de drones. Constituant  un site exceptionnel offrant tous les services nécessaires aux clients internationaux qui participent d’une façon ou d’une autre au développement et aux opérations de drones. Les dirigeants du Centre participent présentement à la 50ième édition du salon International de l’aéronautique et de l’espace Paris Le Bourget, où le CED a procédé à la signature d’un protocole d’entente avec le Centre d’Essais et de Services sur les Systèmes Autonomes (CESA), représenté par Bordeaux Technowest. La signature avec Fly N Sense constitue les premières retombées du protocole d’entente établi avec Bordeaux Technowest. Fly-N-Sense conçoit et commercialise des systèmes de drones compacts et autonomes à destination des marchés de la sécurité civile, de l’environnement et de l’inspection des infrastructures. Précurseur dans l’usage des drones aériens pour des applications civiles, Fly-n-Sense a bâti son développement sur des partenariats industriels et académiques forts au sein du pôle de compétitivité Aerospace Valley et du cluster Aquitain AETOS. Avec son nouveau directeur commercial et marketing, Fly-N-Sense se positionne stratégiquement et développe son marché à l’international.                               - 30 - Contacts presse M. Marc Moffatt, Gestionnaire R&D - Aéroport d'Alma / Centre d'excellence sur les drones - T.: +1 418-487-3583 - F.: +1 418-669-5149 - Courriel : marc.moffatt@ville.alma.qc.ca M. Éric Spampinato, EVP of Sales, Marketing et Communications, Fly-N-Sense, T FR +33 (0) 675 394 074 T US  +1 773 672 3214 Courriel : espampinato@fly-n-sense.com ‍

  • Flyterra rejoint le CED à titre de membre privé

    27 mai 2013

    Flyterra rejoint le CED à titre de membre privé

    Alma, le 27 mai 2013 –  C’est avec un grand plaisir que les dirigeants du Centre d’excellence sur les drones (CED) annoncent l’adhésion de l’entreprise américaine Flyterra à titre de membre privé du CED. L’entreprise devient ainsi un partenaire clé permettant au CED d’offrir un service de prise d’images pour, entre autres, la gestion d’excavation. Ayant son siège social à New-York, Flyterra est une entreprise américaine en développement ayant pour ambition de devenir un distributeur de services et opérateur de drones en fournissant des solutions adaptées à ses clients dans les domaines minier, gazier, pétrolier et agricole. L’objectif est de démarrer par l’exploitation de micro-drones au Québec et en Ontario. « Nous sommes très fiers de notre adhésion », commente le président de l’entreprise, Vivien Heriard. « Le CED nous offre une tonne de possibilités d’affaires québécoises et canadiennes qui nous étaient encore jusqu’ici irréalisables. » Conseiller municipal à la Ville d’Alma, président de l’Aéroport d’Alma et président du Centre d’excellence sur les drones, Pascal Pilote se réjouit de la nouvelle: «Nous sommes heureux d’accueillir un partenaire tel que Flyterra au sein du CED. Cette association permet une diversification encore plus grande des services offerts au CED, ce qui s’inscrit dans notre mission de développer un centre national d’expertises et d’innovations en conception, application et exploitation de drones ». Le Centre d’Excellence sur les drones compte maintenant près d’une vingtaine de membres actifs. Le Centre et ses partenaires ont récemment établi des liens à l’international avec l’état de l’Oklahoma aux États-Unis et le regroupement Technowest de Bordeaux en France. À cet effet, le CED se rendra à Paris en juin prochain pour le 50e salon international de l’aéronautique et de l’espace, où d’autres nouvelles seront annoncées.

  • PROJET ESSOR: Le Centre d'excellence sur les drones se dote de sa propre infrastructure!

    17 mai 2013

    PROJET ESSOR: Le Centre d'excellence sur les drones se dote de sa propre infrastructure!

    Alma, le 17 mai 2013 – Le conseil municipal de la Ville d’Alma, les dirigeants de l’Aéroport d’Alma (ADA Inc.) et les dirigeants du Centre d’excellence sur les drones (CED) sont très heureux d’annoncer la construction d’une infrastructure propre au CED sur le site de l’Aéroport d’Alma, aussi appelé «projet Essor». L’annonce s’est faite ce matin lors d’une conférence de presse à l’aéroport d’Alma en présence de : - M. André Paradis, Préfet de la MRC Lac-St-Jean-Est, - M. Pascal Pilote, Conseiller municipal, président de l’aéroport d’Alma et du CED - L’honorable Denis Lebel, ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités, ministre de l’Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec et ministre des Affaires intergouvernementales - M. Marc Asselin, Maire de la Ville d’Alma ‍ Le projet Essor, comme son nom l’indique, constitue l’étape logique et nécessaire au développement du Centre d’excellence sur les drones. Il répond du fait à la demande présente et croissante des entreprises et organisations de l’industrie du drone civil et commercial à la recherche d’un site opérationnel où ils peuvent s’établir. À peine le projet concrétisé que presque tous les bureaux ont été alloués à l’avance par les différentes entreprises liées au CED. Ce projet d’envergure ne serait pas réalisable sans l’appui financier de partenaires clés. Ainsi, l'aéroport d'Alma s’est vu octroyer une contribution financière de 2,5 million de dollars par Développement Économique Canada, en plus d’un appui financier de 1,2 million de dollars de la Ville d’Alma. Comme le cite le maire de Ville d’Alma, M. Marc Asselin, il s’agit d’un investissement qui s’avérera très prometteur : « De nouvelles entreprises viendront s’implanter chez nous grâce à cette construction. Elles génèreront la création d’emplois dans notre municipalité, et des retombées économiques encore plus significatives ». Le projet Essor consiste d’abord en la construction d’un hangar et d’une aire de bureaux, puis en le prolongement des infrastructures municipales. Conseiller municipal à la Ville d’Alma, président de l’Aéroport d’Alma et président du Centre d’excellence sur les drones, M. Pascal Pilote est très enthousiaste par ce projet : « Il s’agit d’un grand pas dans le développement du Centre d’excellence sur les drones. Alors qu’il y a encore 3 ans le CED n’était encore qu’une idée, il est de plus en plus connu et reconnu internationalement. Le projet s’inscrit dans la vision du CED de devenir un véritable parc technologique sur les drones, et les retombées économiques qui s’y rattachent sont très importantes». Le Centre d’Excellence sur les drones compte maintenant près d’une vingtaine de membres actifs, en plus d’une dizaine intéressés. Le Centre et ses partenaires ont aussi établie des liens à l’international avec l’état de l’Oklahoma aux États-Unis et le regroupement Technowest de Bordeaux en France. L’industrie des drones est l’une des plus florissantes au monde et le marché est présentement voué à une expansion majeure dans le secteur commercial de l’énergie, des télécommunications, des ressources naturelles, de la sécurité et de la surveillance. Liens connexes: Communiqué officiel du Gouvernement du Canada Communiqué sur LBR, média régional

  • Conférence de presse sur la compétition étudiante canadienne de drones

    22 avril 2013

    Conférence de presse sur la compétition étudiante canadienne de drones

    Alma, Québec - le 22 avril 2013 – Le conseil municipal de la Ville d’Alma, les dirigeants de Systèmes Télécommandés Canada, de l’Aéroport d’Alma et du Centre d’excellence sur les drones sont heureux de vous inviter à la Compétition étudiante canadienne de drones.  Une centaine d’étudiants de partout au Canada prendront d’assaut l’aéroport du 3 au 5 mai prochains. À leur arrivée, les étudiants devront faire voler leur appareil qu’ils auront bâti de leurs propres mains à partir de systèmes de contrôle situés au sol. Ils seront mis au défi de détecter diverses cibles placées sur le site  et de décoder celles-ci. Le Colonel Paul Prévost, Commandant des 2e et 3e escadres de Bagotville, a généreusement accepté la présidence d’honneur de l’événement. La cinquième édition de la compétition étudiante sera ouverte pour la toute première fois au public. Les personnes désireuses d’en apprendre davantage sur le monde fascinant de l’aéronautique pourront se rendre sur place le samedi 4 mai et le dimanche 5 mai de 9h00-17h00. Tout au long de ces deux journées, vous pourrez syntoniser votre radio aux stations de RNC Média, Planète et RadioX, pour entendre des capsules sur la compétition. L’entrée est gratuite pour les enfants de 12 ans et moins et de 3$ pour les personnes de 12 ans et plus. Pour les visiteurs, une cantine mobile sera sur place ainsi que des jeux gonflables pour les enfants. Un moment fort des activités sera un survol de CF-18 le samedi midi. Plusieurs kiosques et de nombreux appareils statiques seront en démonstration. Divers drones pourront être observés de plus près, dont le drone MISKAM qui vole à Alma depuis plus d’un an déjà. Des entreprises viendront aussi présenter leurs services. « Nous sommes gracieusement accueillis cette année par le Centre d’excellence sur les drones et la Ville d'Alma. L'événement 2013 est en voie de devenir notre meilleure compétition à ce jour et nous nous réjouissons d'avance de la réussite de l’événement. Le succès continu de notre compétition  étudiante est le résultat direct du soutien continu de nos commanditaires et de la ville hôte » déclare M. Paul Drover, directeur exécutif d’USC. « La Ville d’Alma est fière d’accueillir la compétition étudiante de drones. Cet événement est ouvert au public pour la première fois au Canada. C’est toute la région du Saguenay-Lac-St-Jean qui en profitera » ajoute le Maire d’Alma M. Marc Asselin. « Le Centre d’excellence sur les drones continue d’évoluer et avec la tenue de la compétition, prouve son leadership  dans le développement des drones aux niveaux national et international » a pour sa part déclaré M. Pascal Pilote, président du CED. Le Centre d’excellence sur les drones a recruté près de 60 bénévoles de la région pour mener à bien la réalisation de cet événement d’envergure qui attirera des entreprises et des commanditaires nationaux. Ceux-ci, ainsi que tous les étudiants, leurs accompagnateurs et le comité organisateur seront hébergés à Alma durant leur séjour. De plus, de nombreuses entreprises locales ont généreusement accepté notre invitation à participer à l’événement en tant que commanditaire. Elles pourront profiter d’une visibilité des plus intéressantes lors de la compétition. D’importantes retombées économiques pour la ville d’Alma sont à prévoir. La Compétition canadienne de drones Unmanned Systems Canada –  Systèmes Télécommandés Canada (USC-STC) organise la compétition depuis 2007. L’objectif principal visé par les organisateurs est de promouvoir et de développer l'expertise et l'expérience canadiennes dans les technologies de systèmes sans pilote aux niveaux collégial et universitaire. Le Centre d’excellence sur les drones (CED) a pour mission de développer un centre international d’expertises et d’innovations en conception, application et exploitation de drones. La tenue de la compétition sur le site de ses installations est une occasion unique pour le CED de promouvoir ses services et son expertise et une occasion à ne pas manquer pour démystifier le domaine des drones pour les visiteurs.

  • Drones: l'industrie québécoise veut monter à bord

    3 août 2012

    Drones: l'industrie québécoise veut monter à bord

    (Montréal) Les drones sont promis à un bel avenir. Dans le secteur militaire, l'utilisation de ces appareils sans pilote est déjà en forte croissance. Dans le secteur civil, il leur faudra encore franchir quelques obstacles pour prendre toute la place qui pourrait leur revenir. L'industrie aéronautique québécoise entend bien participer aux deux secteurs. Un drôle d'oiseau a pris son envol à Alma ce printemps, un grand oiseau blanc portant une étrange huppe. Plus bizarre encore, une pellicule dissimulait son regard. Cet oiseau, le Miskam, semblait cependant savoir exactement où il allait. Rien d'étonnant, il était contrôlé à distance. Le Miskam (un mot innu qui veut dire «trouver») est un drone qui a effectué une série de vols au Centre d'excellence des drones (CED), à l'aéroport d'Alma, en vertu d'un programme élaboré par CAE et la société israélienne Aeronautics. «C'est un projet pilote qui permettra de démontrer les applications commerciales des drones», indique Martin Daigle, gestionnaire du projet Miskam chez CAE. Le marché commercial des drones est encore relativement petit. «C'est un marché en devenir, très prometteur», fait toutefois valoir M. Daigle. Les drones permettent d'accomplir des missions très longues, beaucoup trop longues pour un équipage humain. On parle notamment de vols de plus de 24 heures. Ils permettent aussi d'exécuter des tâches redondantes, monotones, comme de surveiller systématiquement un grand territoire sans cligner des yeux, sans céder à la somnolence. Les applications potentielles sont nombreuses: le soutien aux combats contre les incendies de forêt, l'inspection des infrastructures majeures, comme les pipelines, le suivi des changements climatiques, comme l'état des glaces, etc.. Prudence Au Québec, les clients potentiels sont encore prudents par rapport aux drones. «Nous n'utilisons pas ce type de technologie à ce moment-ci, mais nous regardons si ça peut être pertinent pour certaines de nos opérations, comme l'inspection de nos barrages et de nos lignes de transport, déclare un porte-parole d'Hydro-Québec, Louis-Olivier Batty. Nous essayons de voir ses avantages, son potentiel, mais c'est sûr que c'est une technologie qui semble intéressante.» À la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU), on prévoit faire des essais avec un drone à l'issue d'un combat contre un incendie de forêt. Il s'agira de voir si tous les foyers sont bien éteints. «Nous voulons faire voler un drone de nuit, équipé d'un système de thermovision, pour voir s'il reste des points chauds», explique une porte-parole de la SOPFEU, Eloïse Richard. À l'heure actuelle, ce sont des employés de la SOPFEU qui font ce travail, au petit matin, à bord d'un hélicoptère. Il n'est pas question pour l'instant d'utiliser un drone pour combattre les incendies. «Pour les feux, nous aimons l'oeil du pilote, note Mme Richard. Le pilote est capable de nous décrire l'intensité du feu, sa distance.» Du côté du ministère québécois des Ressources naturelles et de la Faune, on s'intéresse moins aux drones, même si les secteurs du territoire et des forêts ont parfois recours à des opérations aériennes, comme faire des relevés. Nicolas Bégin, porte-parole du ministère, indique que le secteur du territoire ne prévoit pas analyser cette technologie prochainement. «Du côté de Forêt Québec, on n'utilise pas d'appareils de cette nature pour les relevés et suivis, déclare-t-il. Il pourrait cependant y avoir un certain intérêt dans un avenir encore difficile à déterminer.» Le Miskam est la version canadienne du drone d'Aeronautics, le Dominator XP, de type MALE (moyenne altitude et longue endurance). Il s'agit en fait d'un avion bimoteur de Diamond modifié et équipé de capteurs. CAE a demandé à une entreprise de Trois-Rivières, Aviatech Services techniques, de faire les travaux d'ingénierie nécessaires pour installer un certain nombre de ces capteurs. Aviatech est spécialisée notamment dans l'intégration de systèmes et dans la conversion d'avions et d'hélicoptères pour des missions spécifiques. «Dans notre travail, il n'y a pas une grande différence entre les appareils avec pilote et les drones, affirme le directeur du développement des affaires d'Aviatech, Normand Landry. La grande différence, c'est que dans le cas d'un drone, il n'y a personne à bord pour voir comment les appareils modifiés vont réagir. Mais il faut respecter les mêmes règles en termes d'aérodynamisme et de structures.» De son côté, CAE fait appel à son expertise en modélisation et en simulation, donc en un environnement synthétique, pour faire l'interprétation des données obtenues par les capteurs. «Il y a des capteurs de plusieurs types, il y a donc un peu une surcharge d'information, explique Martin Daigle. Le but, c'est d'utiliser nos technologies pour combiner tout ça, pour simplifier, pour rendre cela adaptable pour des clients spécifiques.» Il y a toutefois un élément qui ralentit l'utilisation des drones à des fins commerciales au Canada: leur intégration au trafic aérien régulier. À l'heure actuelle, un drone ne peut voler que s'il obtient un certificat d'opérations aériennes spécialisées. Le Miskam a obtenu un tel certificat, mais il s'agit d'un processus plutôt long et compliqué. Transports Canada, la Federation Aviation Administration (FAA) des États-Unis et d'autres organismes de certification sont présentement en train d'étudier une façon d'intégrer les drones. «Nous avons plusieurs séries de clients qui attendent l'autorisation d'avoir recours à des services de type drone», indique M. Daigle. L'intégration des drones n'est cependant pas pour demain, à en croire Normand Landry. «Il y en a encore pour quelques années», laisse-t-il tomber. En attendant, le CED d'Alma veut générer de l'intérêt au sujet de ces appareils sans pilote. Le CED s'est lancé dans l'aventure des drones il y a quelques années. «Nous voulions faire rouler l'économie dans la région, diversifier la base d'emploi, raconte Marc Moffat, gestionnaire de la recherche et du développement pour le CED d'Alma. Ce que nous offrons, ce sont des services pour l'opération de drones à Alma.» Grâce à une entente avec la base des Forces canadiennes de Bagotville, les drones peuvent avoir accès à l'espace aérien de la base, un espace énorme qui s'étale jusqu'au nord du lac Saint-Jean. «Selon les ententes avec Transports Canada et NAV Canada, il faut éviter les villes et les villages», indique M. Moffat. Le projet Miskam a déjà des retombées intéressantes dans la région, avec la présence des équipes de CAE et d'Aviatech. «Pour l'instant, nous avons un seul drone, mais nous sommes à la recherche d'autres opérateurs», déclare M. Moffat. Définition: Selon le Petit Robert, un drone est un petit avion de surveillance, télécommandé ou programmé. Le mot provient d'un terme anglais qui signifie «faux bourdon». http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201208/03/01-4561947-drones-lindustrie-quebecoise-veut-monter-a-bord.php

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