23 août 2013 | Local,

LE CED NOUVELLEMENT MEMBRE DU CRIAQ !

C’est avec plaisir que le Centre d’excellence sur les drones (CED) s’est récemment joint à la grande communauté CRIAQ (Consortium de Recherche et d'Innovation en Aérospatiale au Québec). En plus d’accroître la visibilité de notre Centre, le CED pourra bénéficier de plusieurs avantages, notamment celui d’avoir accès à une brochette aéronautique impressionnante, des possibilités de collaboration avec des chercheurs universitaires de calibre, une participation facilitée à la chaîne d’approvisionnement technologique, et bien plus !

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    Alma, le 15 juillet 2019. – Les gouvernements du Canada et du Québec attribuent des aides financières totalisant 1,6 million de dollars au Centre d’excellence sur les drones (CED) pour appuyer l’implantation du Centre de préqualification Qualia à Alma, dans la région du Saguenay–Lac?Saint?Jean. Ce projet, évalué à 2,4 millions de dollars, permettra aux entreprises du secteur des drones civils et commerciaux de valider, en situation réelle, leurs produits et services ainsi que les résultats des activités de recherche et de développement qui sont associées à la conception des systèmes de drones. L’aide financière comprend une contribution non remboursable de 800 000 $ accordé par le gouvernement du Canada en vertu du programme Croissance économique régionale par l’innovation de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC). L’attribution d’une contribution financière de 800 000 $ du gouvernement du Québec, par l’entremise du Programme de soutien aux organismes de recherche et d’innovation, est également confirmée. Soulignons que l’appui du gouvernement du Québec rejoint l’objectif de la Stratégie québécoise de l’aérospatiale 2016?2026 visant à développer le secteur des drones et ses applications civiles. Le député de Lac?Saint?Jean et secrétaire parlementaire de la ministre de la Petite Entreprise et de la Promotion des exportations, M. Richard Hébert, au nom du ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique et ministre responsable de DEC, l’honorable Navdeep Bains, et le député de Lac?Saint?Jean et adjoint parlementaire du ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles, M. Éric Girard, au nom du ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable de la région de Lanaudière, M. Pierre Fitzgibbon, en ont fait l’annonce aujourd’hui.   Citations : « Le secteur RPAS (drone) est en pleine expansion au Québec. En mettant en place un site où les entreprises du secteur RPAS pourront tester  leurs nouveaux produits de manière optimale, le CED soutient les entreprises dans leur volonté de croissance. Il répond directement à la nécessité créer des synergies entre des entreprises du secteur aérospatial afin de mettre en place des démonstrateurs opérationnels et commercialiser de nouveaux produits. L’initiative StartAéro 360°, que nous avons lancée en 2018, vise justement à encourager ces synergies.» Suzanne M. Benoît, présidente-directrice générale d’Aéro Montréal. « Je me réjouis du soutien de DEC au projet Qualia, un appui qui contribuera à la croissance de l’économie locale, régionale et nationale, et à la vitalité des collectivités. Cette aide réaffirme également le rôle que joue le gouvernement du Canada dans le développement des entreprises et organismes innovants d’ici et, par conséquent, dans la croissance de l’économie canadienne. » Richard Hébert, député de Lac-Saint-Jean et secrétaire parlementaire de la ministre de la Petite Entreprise et de la Promotion des exportations « Le projet Qualia rejoint les priorités du gouvernement du Canada puisqu’il favorise la croissance et l’évolution d’écosystèmes d’innovation régionaux inclusifs. Il permettra également de soutenir le développement d’une filière forte en favorisant la mobilisation, la croissance et la compétitivité des entreprises de l’industrie du drone. Nous faisons la promotion du développement économique à long terme, et cela bénéficie autant aux organismes et aux entreprises qu’aux communautés. » L’honorable Navdeep Bains, ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique et ministre responsable de DEC « La mise en place de ce nouveau centre revêt une importance stratégique pour la région du Saguenay–Lac?Saint?Jean, qui a développé, notamment grâce aux initiatives du CED, une expertise désormais reconnue dans le secteur des drones. Je suis d’ailleurs convaincu que ce projet permettra à notre région de s’imposer davantage sur la scène internationale et qu’il engendrera des retombées économiques considérables ici et partout ailleurs au Québec. » Éric Girard, député de Lac-Saint-Jean et adjoint parlementaire du ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles « Grâce au Centre de préqualification Qualia, le CED disposera des infrastructures et des équipements nécessaires pour permettre aux entreprises québécoises du secteur des drones civils et commerciaux de figurer parmi les leaders mondiaux. C’est donc avec enthousiasme que nous soutenons cet important projet, qui renforcera la compétitivité d’un domaine clé de l’industrie aérospatiale et dont les applications civiles sont associées à plusieurs secteurs économiques bien implantés au Québec, tels que la sécurité, l’énergie, l’agriculture et les ressources naturelles. » Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable de la région de Lanaudière   Fait saillant : Fondé en 2011, le CED offre des infrastructures de calibre international destinées à la conception, à l’essai, à l’application et à l’exploitation de drones civils et commerciaux. Ce centre est implanté sur le site de l’aéroport d’Alma, qui offre une piste asphaltée de 5 000 pieds, un système automatisé d’information météorologique, des systèmes de navigation et d’autres installations permettant les essais de drones. Par ailleurs, le CED a accès à l’une des seules zones au Canada où il est possible d’effectuer des vols de drones hors de portée visuelle.   Liens connexes : Pour en savoir davantage sur DEC et ses priorités, consultez le Plan ministériel 2019-2020 ou visitez le site dec-ced.gc.ca. Pour recevoir en temps réel les communiqués de presse du ministère de l’Économie et de l’Innovation, inscrivez-vous au fil RSS approprié au economie.gouv.qc.ca/rss

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    Le premier COAS conforme a été délivré par Transports Canada à une compagnie québécoise. Le 17 novembre 2017, la firme Arpentage Parleciel de New Richmond en Gaspésie a reçu le premier Certificat d’opérations aériennes spécialisées pour exploitant conforme. Ce type de COAS, plus permissif que les types complexes et limités, permet à la compagnie d’opérer sur presque tout le territoire canadien sans avoir à fournir d’avis de vol à Transports Canada. Arpentage Parleciel est une des premières compagnies, sinon la première, à obtenir un COAS conforme valide dans toutes les provinces et territoires du Canada. Afin d’obtenir ce certificat, la compagnie a atteint les critères de conformité sur trois volets: l’appareil, les pilotes et les manuels et procédures. Au niveau de l’appareil, Arpentage Parleciel a choisi le Infinitejib Surveyor 630. Cet appareil conçu en Ontario pour l’acquisition de données techniques figure sur la liste des véhicules aériens non habités conformes depuis mai 2016. Ses 6 moteurs disposés en configuration en "Y" lui permettent de soulever des charges allant jusqu’à 4 kg dans des conditions de vents pouvant souffler en rafale jusqu’à 80 km/h. La grande stabilité du Surveyor 630 en fait un bon candidat pour les opérations d’arpentage. Question formation, tous les pilotes de la compagnie ont suivi les formations offertes par Spectral Aviation. Basées sur la publication TP15263 de Transports Canada, ces formations ont permis aux employés d’Arpentage Parleciel d’obtenir le niveau de connaissance requis pour satisfaire les critères de qualification et d’en convaincre l’organisme d’aviation civile canadienne. Concernant la mise sur pied des procédures, l’entreprise gaspésienne a fait, dès le départ, appel à l’expertise de l’équipe de Spectral Aviation afin de les conseiller et les épauler dans l’élaboration d’un manuel contenant des procédures qui répondent aux critères d’un exploitant de petits UAV conformes. Ces critères étant énoncés dans l’IP 623-001 de Transports Canada. Arpentage Parleciel a conséquemment opéré pendant plusieurs années sous les conditions de COAS complexes et ainsi démontré leur haut degré de professionnalisme et leur aptitude à effectuer des opérations sécuritaires. Contrairement aux incidents récents, lors desquels des UAV ont effectué des manœuvres dangereuses près d’aéronefs habités, il est rassurant de voir de plus en plus de compagnies soucieuses de s’intégrer de manière sécuritaire dans l’espace aérien canadien. Il est aussi agréable de voir que ces compagnies visant la conformité se verront accorder plus de libertés de la part de Transports Canada. ‍ Par Mathieu Boulianne, Directeur général, Spectral Aviation

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    28 avril 2012

    1000 drones peuvent voler au Canada

    Un millier. C'est le nombre de drones qui ont l'autorisation de voler au pays, selon Transports Canada. Parmi les 293 organismes ayant le droit de s'en servir, on retrouve la GRC et quatre corps policiers de l'Ontario et de l'ouest du pays. «On a pour le moment une autorisation limitée à l'espace aérien visible de l'aéroport, mais nous sommes en négociation pour pouvoir utiliser l'espace aérien du ministère de la Défense à Bagotville», explique Marc Moffatt, gestionnaire de la R&D au Centre d'excellence sur les drones de l'aéroport d'Alma, qui vient de commencer des vols pour la sécurité aéronautique CAE, fabricant de drones. «Transport Canada travaille à l'intégration complète des drones.» Lors de la formation du groupe de travail sur les drones de Transports Canada, en 2006, l'objectif était d'en arriver à une intégration complète en 2012. Cette échéance a été repoussée, mais les autorités aériennes américaines (FAA) viennent d'avoir un mandat politique du Congrès américain d'avoir une intégration en 2015. Le Canada a presque autant de certificats de drones que les États-Unis. Mais aucun des deux pays ne révèle quelle proportion de ces drones sont opérationnels. Transports Canada, par exemple, indique que l'un des certificats vise l'utilisation de drones pour la «publicité» soit remplacer les avions traînant une banderole derrière eux ; mais il est impossible de savoir s'il s'agit d'un projet de recherche ou d'une entreprise commerciale déjà existante. Les drones de CAE testés à Alma serviront à la surveillance des installations hydroélectriques et des incendies de forêt et à la détection de ressources naturelles. Selon l'organisme Systèmes télécommandés Canada, groupe professionnel du domaine, aucun corps policier québécois n'utilise de drone. «Nous nous en servons pour surveiller les grands accidents et catastrophes», explique Dave Cross, de la police régionale de Halton, en banlieue de Toronto. «Par exemple, nous nous en sommes servis pendant un déraillement de train. Nous les utilisons aussi pour l'analyse de certaines scènes de crime ou d'accident. Quand nous découvrons un corps dans un champ, nous faisons des photos aériennes avant que nos techniciens y aillent pour recueillir des indices sur le terrain, afin de limiter la contamination de la scène. Dans les accidents routiers importants, nous nous en servons aussi pour accélérer l'analyse et ainsi rouvrir la route plus rapidement.» Les drones de la police de Halton ne sont toutefois pas utilisés pour la surveillance dans le cadre d'enquêtes. Cette perspective alarme plusieurs défenseurs des droits civils aux États-Unis, qui envisagent un monde où des drones surveillent les allées et venues de tous en tout temps. Certains ont ainsi avancé que des drones pourraient surveiller toutes les voitures sur la route pour détecter si elles font des excès de vitesse, ce qui permettrait de coincer tous les contrevenants, sans exception.   Source: http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-canadienne/201204/28/01-4520001-1000-drones-peuvent-voler-au-canada.php ‍

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