26 septembre 2019 | Sûreté, Sécurité, Secteur Urbain, Secteur Industriel, Secteur Agricole

La communauté du drone se réunit autour de TECH DEMO 2

La communauté du drone se réunit autour de TECH DEMO 2

Alma, le 26 septembre 2019 – Près de 150 acteurs de l’industrie aéronautique se sont réunis encore cette année au Centre d’excellence sur les drones à l’occasion de la deuxième édition de TECH DEMO, mis sur pied afin de favoriser le partage des avancées technologiques des systèmes d’aéronefs télépilotés au sein de cette communauté.

Au cours de cet événement présenté les 25 et 26 septembre à Alma, les participants ont pu en apprendre davantage sur les derniers développements de Transports Canada, de l’Aviation royale canadienne & Marine royale canadienne ainsi que ceux du Conseil national de recherches du Canada (CNRC). Ceux-ci ont assisté à différentes conférences en lien avec la reconnaissance d’images par drone, le créneau d’excellence sur les drones civils et commerciaux, la réduction du temps de mise en marché par la simulation par drone, les stratégies des écosystèmes de drones ainsi que sur les systèmes multi-missions.

Les invités ont aussi eu l’occasion d’échanger sur les enjeux reliés aux opérations hors de portée visuelle, aux systèmes anti-drones et à la gestion de l’espace aérien par le biais de trois panels de discussion. Sept démonstrations de systèmes ont également été effectuées pendant l’événement, dont celle d’un mastodonte de plus de 300 kilos: «Il s’agit d’un système autonome élaboré pour différentes missions de surveillance et de sécurité civile par la compagnie québécoise Laflamme en collaboration avec l’entreprise américaine General Dynamics. Il s’agit de la toute première démonstration technologique devant public de ce système au Québec, ce qui a suscité un vif engouement des acteurs présents», a commenté le directeur général du CED, monsieur Marc Moffatt. Celui-ci a mentionné qu’encore cette année, l’activité a permis d’accueillir plusieurs grands manufacturiers, notamment Bell Hélicoptère, Bombardier, General Atomics, CAE, L3, Leonardo, et bien d’autres.

Selon le président du CED, monsieur Alain Fortin, la tenue d’un événement comme TECH DEMO est très importante pour l’industrie: «La communauté du drone a besoin d’événements autour desquels se rassembler pour se nourrir les uns des autres. Nous sommes évidemment très heureux de l’envergure de cette deuxième édition et surtout très fiers de la qualité des intervenants présents. Plusieurs acteurs qui orchestrent le développement de la réglementation du drone au Canada étaient entre autres parmi nous ces deux derniers jours afin d’écouter ce que la communauté avait à leur apprendre et en connaître davantage sur le potentiel du CED.»

Celui-ci a poursuivi: «On compte parmi nos participants des intervenants des quatre coins du monde dont les États-Unis, l’Angleterre, l’Italie et même l’Ukraine. Au fil des ans, le CED est ses partenaires ont bâti tout un écosystème régional autour du drone et le rôle stratégique qu’il occupe dans le développement de ce secteur est maintenant reconnu, et bien implanté», a-t-il conclu.

L’événement, rendu possible grâce au soutien financier du Ministère de l’Économie et de l’Innovation ainsi que de General Dynamics Missions Systems, Kongsberg Geospatial Ltd. et CAE, est devenu un événement annuel d’envergure attendu par l’industrie.

L’édition 2019 de Tech DEMO a été présenté dans le cadre des Journées du numérique au Saguenay—Lac-Saint-Jean, qui se déroulent du 25 septembre au 10 octobre sous le chapeau d’un comité organisateur composé de par Nubee, Culture Saguenay—Lac-Saint-Jean, Saglac IO, le Hub SLSJ, la CIDAL, Promotion Saguenay, le COlab ainsi que d’autres acteurs qui ont démontré un intérêt à joindre cette initiative. Ces journées ont comme objectif de mettre de l’avant le savoir numérique de la région. Au programme il y aura des conférences, des ateliers, des formations et des panels de discussion.

 

À propos du Centre d’excellence sur les drones

Le Centre d’excellence sur les drones (CED) est un regroupement de membres dont la mission consiste à développer un centre international d’expertises, de services et d’innovation en conception, application et exploitation de drones. Le CED compte 18 membres et dispose d’un important réseau de partenaires. Il assure la gestion du créneau d’excellence sur les drones civils et commerciaux, effectue la gestion des zones de vol dédiées aux opérations de drones et poursuit le développement d’un centre d’essais et de qualification de systèmes au Centre, dont l’opérationnalisation est prévue d’ici un an. Pour plus d’informations sur le CED ou pour connaître les derniers développements, consultez le www.cedalma.com.

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Le Miskam (un mot innu qui veut dire «trouver») est un drone qui a effectué une série de vols au Centre d'excellence des drones (CED), à l'aéroport d'Alma, en vertu d'un programme élaboré par CAE et la société israélienne Aeronautics. «C'est un projet pilote qui permettra de démontrer les applications commerciales des drones», indique Martin Daigle, gestionnaire du projet Miskam chez CAE. Le marché commercial des drones est encore relativement petit. «C'est un marché en devenir, très prometteur», fait toutefois valoir M. Daigle. Les drones permettent d'accomplir des missions très longues, beaucoup trop longues pour un équipage humain. On parle notamment de vols de plus de 24 heures. Ils permettent aussi d'exécuter des tâches redondantes, monotones, comme de surveiller systématiquement un grand territoire sans cligner des yeux, sans céder à la somnolence. Les applications potentielles sont nombreuses: le soutien aux combats contre les incendies de forêt, l'inspection des infrastructures majeures, comme les pipelines, le suivi des changements climatiques, comme l'état des glaces, etc.. Prudence Au Québec, les clients potentiels sont encore prudents par rapport aux drones. «Nous n'utilisons pas ce type de technologie à ce moment-ci, mais nous regardons si ça peut être pertinent pour certaines de nos opérations, comme l'inspection de nos barrages et de nos lignes de transport, déclare un porte-parole d'Hydro-Québec, Louis-Olivier Batty. Nous essayons de voir ses avantages, son potentiel, mais c'est sûr que c'est une technologie qui semble intéressante.» À la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU), on prévoit faire des essais avec un drone à l'issue d'un combat contre un incendie de forêt. Il s'agira de voir si tous les foyers sont bien éteints. «Nous voulons faire voler un drone de nuit, équipé d'un système de thermovision, pour voir s'il reste des points chauds», explique une porte-parole de la SOPFEU, Eloïse Richard. À l'heure actuelle, ce sont des employés de la SOPFEU qui font ce travail, au petit matin, à bord d'un hélicoptère. Il n'est pas question pour l'instant d'utiliser un drone pour combattre les incendies. «Pour les feux, nous aimons l'oeil du pilote, note Mme Richard. Le pilote est capable de nous décrire l'intensité du feu, sa distance.» Du côté du ministère québécois des Ressources naturelles et de la Faune, on s'intéresse moins aux drones, même si les secteurs du territoire et des forêts ont parfois recours à des opérations aériennes, comme faire des relevés. Nicolas Bégin, porte-parole du ministère, indique que le secteur du territoire ne prévoit pas analyser cette technologie prochainement. «Du côté de Forêt Québec, on n'utilise pas d'appareils de cette nature pour les relevés et suivis, déclare-t-il. Il pourrait cependant y avoir un certain intérêt dans un avenir encore difficile à déterminer.» Le Miskam est la version canadienne du drone d'Aeronautics, le Dominator XP, de type MALE (moyenne altitude et longue endurance). Il s'agit en fait d'un avion bimoteur de Diamond modifié et équipé de capteurs. CAE a demandé à une entreprise de Trois-Rivières, Aviatech Services techniques, de faire les travaux d'ingénierie nécessaires pour installer un certain nombre de ces capteurs. Aviatech est spécialisée notamment dans l'intégration de systèmes et dans la conversion d'avions et d'hélicoptères pour des missions spécifiques. «Dans notre travail, il n'y a pas une grande différence entre les appareils avec pilote et les drones, affirme le directeur du développement des affaires d'Aviatech, Normand Landry. La grande différence, c'est que dans le cas d'un drone, il n'y a personne à bord pour voir comment les appareils modifiés vont réagir. Mais il faut respecter les mêmes règles en termes d'aérodynamisme et de structures.» De son côté, CAE fait appel à son expertise en modélisation et en simulation, donc en un environnement synthétique, pour faire l'interprétation des données obtenues par les capteurs. «Il y a des capteurs de plusieurs types, il y a donc un peu une surcharge d'information, explique Martin Daigle. Le but, c'est d'utiliser nos technologies pour combiner tout ça, pour simplifier, pour rendre cela adaptable pour des clients spécifiques.» Il y a toutefois un élément qui ralentit l'utilisation des drones à des fins commerciales au Canada: leur intégration au trafic aérien régulier. À l'heure actuelle, un drone ne peut voler que s'il obtient un certificat d'opérations aériennes spécialisées. Le Miskam a obtenu un tel certificat, mais il s'agit d'un processus plutôt long et compliqué. Transports Canada, la Federation Aviation Administration (FAA) des États-Unis et d'autres organismes de certification sont présentement en train d'étudier une façon d'intégrer les drones. «Nous avons plusieurs séries de clients qui attendent l'autorisation d'avoir recours à des services de type drone», indique M. Daigle. L'intégration des drones n'est cependant pas pour demain, à en croire Normand Landry. «Il y en a encore pour quelques années», laisse-t-il tomber. En attendant, le CED d'Alma veut générer de l'intérêt au sujet de ces appareils sans pilote. Le CED s'est lancé dans l'aventure des drones il y a quelques années. «Nous voulions faire rouler l'économie dans la région, diversifier la base d'emploi, raconte Marc Moffat, gestionnaire de la recherche et du développement pour le CED d'Alma. Ce que nous offrons, ce sont des services pour l'opération de drones à Alma.» Grâce à une entente avec la base des Forces canadiennes de Bagotville, les drones peuvent avoir accès à l'espace aérien de la base, un espace énorme qui s'étale jusqu'au nord du lac Saint-Jean. «Selon les ententes avec Transports Canada et NAV Canada, il faut éviter les villes et les villages», indique M. Moffat. Le projet Miskam a déjà des retombées intéressantes dans la région, avec la présence des équipes de CAE et d'Aviatech. «Pour l'instant, nous avons un seul drone, mais nous sommes à la recherche d'autres opérateurs», déclare M. Moffat. Définition: Selon le Petit Robert, un drone est un petit avion de surveillance, télécommandé ou programmé. Le mot provient d'un terme anglais qui signifie «faux bourdon». http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201208/03/01-4561947-drones-lindustrie-quebecoise-veut-monter-a-bord.php

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    Alma, 1er au 3 mai 2015 – Treize équipes universitaires canadiennes de diverses provinces ont participé cette fin de semaine à la phase opérationnelle de la 7e édition de la compétition étudiante, tenue au Centre d’excellence sur les drones (Alma, Québec). Nous tenons à féliciter les gagnants de la compétition : VAMUdeS – Université de Sherbrooke. 16 équipes ont soumis un projet de conception pour la première phase et 13 équipes ont participé à la deuxième phase d’opérations. Nous félicitons toutes les équipes de leur ingéniosité, leur dévouement et les institutions universitaires de leur support. L’objectif de la compétition est de relever les défis couramment rencontrés par les industries pétrolières, agricoles et minières. Le scénario de cette année vise l’ensemble des nouveaux défis commerciaux pouvant être exécutés par des appareils télépilotés à voilures fixes et tournantes. Les équipes étaient embauchées par une ville pour évaluer les dommages d’une fuite de pétrole qui a eu lieu suite à un déraillement de train. Ils devaient utiliser leurs drones pour survoler la zone et évaluer les dommages causés aux champs agricoles et aux infrastructures à proximité, évaluer l'ampleur des efforts de nettoyage nécessaires et d'enregistrer des preuves à des fins d'assurances. Diverses structures étaient installées dans la zone afin de simuler un scénario d’incident. De plus, les étudiants devaient soumettre aux juges un rapport écrit décrivant leurs résultats. Phase 1: Projet de conception 1ère place : VAMUdeS – Université de Sherbrooke 2e place: UTAT – University of Toronto 3e place: Team Guardian – Simon Fraser University Phase 2: Phase opérationnelle 1ère place : VAMUdeS – Université de Sherbrooke 2e place: AERO – University of Victoria 3e place: KISS – Université de Sherbrooke Des bourses d’une valeur de 10 600 $ ont été remises aux équipes gagnantes de la Phase 1 et 2 à la cérémonie de fermeture dimanche soir. «Cette année, comme les années précédentes, des étudiants de diverses provinces ont participé à cette compétition avec grand enthousiasme, compétences techniques et camaraderie» explique M. Robert Kendall, le directeur général de Systèmes télécommandés Canada. «Tout au long des trois jours, les équipes ont poussé les limites de leur designs pour présenter leurs résultats aux juges clients… les résultats étaient incroyables! Mon impression générale est que l’innovation et l’ingénierie est un domaine solide et bel et bien vivant au Canada» ajoute M. Kendall. Bien sûr, une telle compétition ne peut être menée sans les efforts et le dévouement une équipe formidable. Nous sommes reconnaissants et remercions sincèrement le comité de bénévoles pour leur travail ainsi que le support indispensable du Centre d’excellence sur les drones (CED) pour une autre édition réussie. Nous tenons à remercier particulièrement nos commanditaires et les hôtes de la compétition. La réussite de la compétition est un résultat direct du soutien continu des entreprises commanditaires tels que Northrop Grumman, Kongsberg Gallium, NovAtel, Lockheed Martin, Flyterra, Connect Tech Inc. AVIYA, Airware, Conseil de recherche en sciences naturelles et en génie du Canada, Southport, CAE, Forest Protection Limited (FPL), LGL Environmental, MicroPilot, Cloud Cap Technology, Xiphos Technologies, FPInnovations, Centre de géomatique du Québec, NGC Aerospace, Ag Business & Crop Inc. & UKKO, simactive et Kopter. ‍ Équipes 2015 AERO - University of Victoria, Aeronautical Engineering Research Organization Blackbird - Carleton University Dronolab - École de Technologie supérieure (ETS) GUARDIAN - Simon Fraser University KISS - Université de Sherbrooke MUN Robotics - Memorial University Smart Bird - Polytechnique Montréal UAARG - University of Alberta UABee - Concordia UAS - University of British Columbia UTAT - University of Toronto, Aeronautics VAMUdeS - Université de Sherbrooke WARG - University of Waterloo Aerial Robotics Group ‍ Retirés - Université du Québec À Chicoutimi, Centennial College, Ryerson University ‍ Le Centre d’excellence sur les drones (CED) est un organisme sans but lucratif établit depuis 2011 à Alma, Québec. Le CED est composé de vingt (20) membres qui contribuent au développement du centre à travers une adhésion annuelle et par leur implication dans divers services et projets offerts par le CED. Leurs services sont offerts à un niveau international et ils travaillent à soutenir l'industrie au Canada tout en se concentrant sur la recherche et le développement de différents systèmes pour l'intégration sécuritaire des drones dans l'espace aérien canadien. Systèmes télécommandés Canada (STC) est l'association sans but lucratif qui représente les intérêts du secteur canadien des systèmes sans pilote du secteur industriel, du milieu universitaire, du gouvernement, de l'armée ainsi que d'autres personnes intéressées. STC offre une voix pour la sensibilisation et la représentation auprès des instances gouvernementales et internationales, et conduit conjointement les efforts de développement de réglementation de drones au Canada. L'organisation encourage et facilite la croissance de la collectivité de systèmes télécommandés à travers l'éducation, l'engagement de nouveaux secteurs de marché, et l'échange d'idées et de technologies.

  • ARA Robotique joint son expertise au Centre d'excellence sur les drones

    22 juin 2015

    ARA Robotique joint son expertise au Centre d'excellence sur les drones

    Montréal et Alma, QC, le 22 juin 2015 – C’est avec fierté que la compagnie ARA Robotique annonce son adhésion au Centre d’excellence sur les drones, un organisme à but non lucratif basé à Alma, Québec, dont la mission consiste à développer un centre international d’expertises, de services et d’innovation en conception, applications et exploitation de drones. Le CED regroupe 20 entreprises et organisations dédiées à l’avancement de cette industrie. La compagnie montréalaise ARA Robotique développe un autopilote de calibre industriel conçu pour les drones de type multirotor. Ce produit peut être installé sur tous les types de multirotors présents sur le marché et permet aux utilisateurs de contrôler leur appareil à distance. Grâce à son produit, ARA Robotique vise à surpasser les standards actuels de fiabilité des drones, augmentant ainsi grandement le niveau de sécurité des opérations et permettant aux opérateurs de se concentrer davantage sur la collecte de données. La compagnie offre également un service de solution clé en main qui consiste en l’intégration de capteurs spécialisés afin de proposer diverses fonctionnalités à ses clients et ainsi, d’adapter l’appareil à leurs besoins. Active depuis septembre 2014, ARA Robotique développe des relations d’affaires avec diverses entreprises canadiennes cherchant à intégrer les drones dans leurs activités professionnelles. La compagnie travaille notamment à concevoir un multirotor auquel est intégré son autopilote dans le but d’aider à l’inspection et à la maintenance d’infrastructures. « Depuis quelques années, plusieurs entreprises commencent à percevoir l’utilité des drones pour leur profession, que ce soit dans le secteur minier, agricole, ou cinématographique par exemple » a commenté Pascal Chiva-Bernard, président et co-fondateur de l’entreprise. « Il est vrai que les drones peuvent grandement faciliter le travail des hommes, c’est pourquoi chez ARA Robotique nous nous engageons à concevoir un autopilote fiable, sécuritaire et adapté aux besoins de nos clients, tout en respectant les normes de navigabilité établies par Transports Canada. L’affiliation au Centre d’excellence sur les drones contribue à augmenter notre capacité de test ainsi qu’étendre nos opportunités d’affaires» ajoute-t-il. Dès leur entrée à l’université, Pascal Chiva-Bernard et Charles Brunelle ont rapidement développé une passion pour les drones. Témoins des performances des appareils multirotors sur le marché, ils ont entrepris de développer de nouvelles technologies afin d’en améliorer la fiabilité et l’efficacité. Une fois bacheliers de l’École de technologie supérieure, ils ont lancé leur propre compagnie et se sont joints au Centech, incubateur d’entreprises affilié à l’ÉTS, où ils transforment présentement ARA Robotique en tant que joueur clé dans le marché local et national. M. Pascal Pilote, président du Centre d’excellence sur les drones, ajoute que « chaque nouveau membre apporte une diversification à l’expertise reliée au CED, ce qui constitue l’essence de notre mission. ARA Robotique a su démontrer leur professionnalisme et c’est avec plaisir et enthousiasme que le conseil d’administration du CED a accepté d’accueillir cette jeune entreprise prometteuse au sein de nos rangs.» ‍

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