17 septembre 2014 | Local, Sûreté, Sécurité, Secteur Urbain, Secteur Industriel, Secteur Agricole

La 7e compétition étudiante de Unmanned Systems Canada aura lieu à Alma

The format of the competition is designed to be an equal challenge for both fixed wing and rotary wing aircrafts.

Scenario:

The scenario for this competition combines real life problems encountered by the agriculture, oil and gas and mining industries.

The authorities of a remote Canadian village have contacted your team because there has been a significant leakage of oil products following a train derailment. Some of the containers exploded bringing down a few buildings. The authorities need assistance to evaluate the damage caused to nearby agricultural fields and infrastructure, to assess the magnitude of the clean-up effort and to record evidence for insurance purposes.

Your mission is to use your UAS to survey the accident area and surrounding fields. You will be required to identify the percentage of the field that has been contaminated and to map it. You are to make an inventory of all structures that are located in the disaster area and determine if they have been damaged or not. For the damaged structures, you will are required to locate them and estimate the volume of debris in some cases so that appropriate machinery can be ordered to remove it. You are requested to take pictures of the remaining train containers and attempt to identify their types by reading the codes written on them. If you find any immobilized people in the area, you are required to report their location and provide a close-up picture of them so that emergency actions may be initiated.

Your team will be rewarded according to the results contained in the surveillance report that you will submit within one hour of each flight. Points will be attributed according to the Judging Guide. Your report will be judged on the following results:

- Accuracy of the estimated surface area of the affected fields and their geo-locations. For the purposes of the challenge, the affected crop will be detectable with a regular daylight camera.

- Correct identification, categorization and geo-location of undamaged and damaged structures found in the disaster area.

- Accuracy of the estimated volume occupied by the structure debris pile.

- Correct identification of container types and their geo-location.

- Correct identification and condition of any person in the disaster area.

For an example on how photogrammetric methods can be used in to calculate volumes, please seehttp://www.simactive.com/en/uav .

The competition takes place in two phases with a Phase I design report from each team due janvier 11th 2015 and Phase II, operational demonstration, mai 1-3rd 2015 in Alma, Québec.  Teams will be graded on the quality and completeness of their design report and the results of the demonstrations – there will be separate prizes for each phase. For more details, see the attached operational concept draft.

Purpose of the Competition

The purpose of the competition is to promote and develop Canadian expertise and experience in unmanned systems technologies at the university and college levels. Even small scale unmanned vehicles are complex systems requiring a well planned and executed design approach.  In addition, safety considerations are important factors in this competition as in any other vehicle design project.

Eligibility

The competitors must be registered full time in a recognized Canadian university or college.  Teams may be organized internally at the discretion of their respective members.

Application and Registration

Interested teams should fill the attached registration form and send it by email to competition@unmannedsystems.ca.

To complete registration, each team is asked for a registration fee of $200. Payment can be made by cheque addressed to and sent to Unmanned Systems Canada or by credit card by contacting Robert Kendall, Executive Director of Unmanned Systems Canada at 1.613.435.0935.

Upon completion of the registration, teams will have access to additional competition information at www.unmannedsystems.ca

Competition Website and Email

All relevant competition documents and information will be located on the competition website (www.unmannedsystems.ca ). Check the competition website regularly for updates. All questions should be addressed to: competition@unmannedsystems.ca

 

Registration Deadline: 17th octobre 2014

(Note: Important Competition Information only available after full registration) 

Paper Design Submission: janvier 11th 2015

Flight Demonstration: mai 1-3rd 2015 in Alma, Québec.

 

Charles Vidal

Student competition chairman

Unmanned Systems Canada

Systèmes télécommandés Canada

 

+1.514.679.9427

charles.vidal@unmannedsystems.ca

www.unmannedsystems.ca

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Le Miskam (un mot innu qui veut dire «trouver») est un drone qui a effectué une série de vols au Centre d'excellence des drones (CED), à l'aéroport d'Alma, en vertu d'un programme élaboré par CAE et la société israélienne Aeronautics. «C'est un projet pilote qui permettra de démontrer les applications commerciales des drones», indique Martin Daigle, gestionnaire du projet Miskam chez CAE. Le marché commercial des drones est encore relativement petit. «C'est un marché en devenir, très prometteur», fait toutefois valoir M. Daigle. Les drones permettent d'accomplir des missions très longues, beaucoup trop longues pour un équipage humain. On parle notamment de vols de plus de 24 heures. Ils permettent aussi d'exécuter des tâches redondantes, monotones, comme de surveiller systématiquement un grand territoire sans cligner des yeux, sans céder à la somnolence. 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Il s'agira de voir si tous les foyers sont bien éteints. «Nous voulons faire voler un drone de nuit, équipé d'un système de thermovision, pour voir s'il reste des points chauds», explique une porte-parole de la SOPFEU, Eloïse Richard. À l'heure actuelle, ce sont des employés de la SOPFEU qui font ce travail, au petit matin, à bord d'un hélicoptère. Il n'est pas question pour l'instant d'utiliser un drone pour combattre les incendies. «Pour les feux, nous aimons l'oeil du pilote, note Mme Richard. Le pilote est capable de nous décrire l'intensité du feu, sa distance.» Du côté du ministère québécois des Ressources naturelles et de la Faune, on s'intéresse moins aux drones, même si les secteurs du territoire et des forêts ont parfois recours à des opérations aériennes, comme faire des relevés. 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Aviatech est spécialisée notamment dans l'intégration de systèmes et dans la conversion d'avions et d'hélicoptères pour des missions spécifiques. «Dans notre travail, il n'y a pas une grande différence entre les appareils avec pilote et les drones, affirme le directeur du développement des affaires d'Aviatech, Normand Landry. La grande différence, c'est que dans le cas d'un drone, il n'y a personne à bord pour voir comment les appareils modifiés vont réagir. Mais il faut respecter les mêmes règles en termes d'aérodynamisme et de structures.» De son côté, CAE fait appel à son expertise en modélisation et en simulation, donc en un environnement synthétique, pour faire l'interprétation des données obtenues par les capteurs. «Il y a des capteurs de plusieurs types, il y a donc un peu une surcharge d'information, explique Martin Daigle. Le but, c'est d'utiliser nos technologies pour combiner tout ça, pour simplifier, pour rendre cela adaptable pour des clients spécifiques.» Il y a toutefois un élément qui ralentit l'utilisation des drones à des fins commerciales au Canada: leur intégration au trafic aérien régulier. À l'heure actuelle, un drone ne peut voler que s'il obtient un certificat d'opérations aériennes spécialisées. Le Miskam a obtenu un tel certificat, mais il s'agit d'un processus plutôt long et compliqué. Transports Canada, la Federation Aviation Administration (FAA) des États-Unis et d'autres organismes de certification sont présentement en train d'étudier une façon d'intégrer les drones. «Nous avons plusieurs séries de clients qui attendent l'autorisation d'avoir recours à des services de type drone», indique M. Daigle. L'intégration des drones n'est cependant pas pour demain, à en croire Normand Landry. «Il y en a encore pour quelques années», laisse-t-il tomber. En attendant, le CED d'Alma veut générer de l'intérêt au sujet de ces appareils sans pilote. Le CED s'est lancé dans l'aventure des drones il y a quelques années. «Nous voulions faire rouler l'économie dans la région, diversifier la base d'emploi, raconte Marc Moffat, gestionnaire de la recherche et du développement pour le CED d'Alma. Ce que nous offrons, ce sont des services pour l'opération de drones à Alma.» Grâce à une entente avec la base des Forces canadiennes de Bagotville, les drones peuvent avoir accès à l'espace aérien de la base, un espace énorme qui s'étale jusqu'au nord du lac Saint-Jean. «Selon les ententes avec Transports Canada et NAV Canada, il faut éviter les villes et les villages», indique M. Moffat. Le projet Miskam a déjà des retombées intéressantes dans la région, avec la présence des équipes de CAE et d'Aviatech. «Pour l'instant, nous avons un seul drone, mais nous sommes à la recherche d'autres opérateurs», déclare M. Moffat. Définition: Selon le Petit Robert, un drone est un petit avion de surveillance, télécommandé ou programmé. Le mot provient d'un terme anglais qui signifie «faux bourdon». http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201208/03/01-4561947-drones-lindustrie-quebecoise-veut-monter-a-bord.php

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