3 février 2015 | Local, Sûreté, Sécurité, Secteur Urbain, Secteur Industriel

Compétition étudiante canadienne de drones 2015

Alma, le 13 avril 2015 - Du 1 au 3 mai 2015, le Centre d’excellence sur les drones et Ville d’Alma seront hôtes de la 7e édition de la compétition étudiante canadienne de drones. Cette compétition d’envergure nationale met au défi des étudiants de niveaux collégial et universitaire. Les équipes participantes devront dessiner les plans, construire et faire voler leur propre drone. Les étudiants réaliseront diverses tâches liées à une situation d’urgence courante, soit l’identification de feux de forêt.

Lors de cette compétition, en tant que bénévole :

  • vous rencontrerez des étudiants en ingénierie de partout au pays ;
  • vous serez en contact avec le milieu aéronautique d’une manière toute spéciale ;
  • vous pourriez avoir l’occasion de pratiquer votre anglais (il n’est toutefois pas obligatoire de parler anglais).

De plus, vous bénéficierez de :

  • repas sur chacun des quarts de bénévolat ;
  • café et grignotines

Nos besoins en bénévoles sont du 1 au 3 mai dans les secteurs d’activité suivants :

  • Sécurité
  • Stationnement
  • Logistique
  • Conducteur
  • Services (repas - propreté)

Contactez-nous au 418-669-5104 pour vous inscrire! Ou au info@cedalma.com

 

16 équipes sont présentement inscrites à cette compétition étudiante canadienne de drones:

  • MUN Robotics -Memorial University of Newfoundland
  • Waterloo Aerial Robotics Group (WARG) : University of Waterloo
  • Team GUARDIAN - Simon Fraser University
  • Blackbird UAV - Carleton University
  • Dronolab - École de technologies supérieures
  • UVic Aero - University of Victoria (Vidéo)
  • University of Toronto Aeronautics Team (UTAT)
  • UBC, AERO Design
  • VAMUdeS, Université de Sherbrooke
  • UAVBee Concordia, Université de Concordia
  • Team Smart Bird, Polytechnique de Montréal
  • Team CCAT, College de Toronto
  • Ryerson University
  • KISS-US / Projet Simplicité, Université de Sherbrooke
  • UAV UQAC, University du Québec À Chicoutimi (UQAC)
  • Aerial Robotics Group, University of Alberta

 

 

La 7e compétition canadienne étudiante de drones 2014-2015

Le format de compétition est conçu pour être un défi égal pour les aéronefs à voilure fixe ou voilure tournante.

Scénario:

Le scénario de cette compétition englobe tous les problèmes réels rencontrés en agriculture, dans l’industrie pétrolière et l’industrie minière.

Vous avez été contacté par les autorités d’un village éloigné parce qu’il ya eu une fuite importante de produits pétroliers suite à un déraillement ferroviaire. Certain conteneurs ont explosés faisant tomber quelques bâtiments. Les autorités ont besoin de votre aide afin d’évaluer l’ampleur les dommages causés aux champs agricoles et les infrastructures à proximité, ainsi que les efforts de nettoyage nécessaire et d’enregistrer des éléments de preuve pour les assurances.

Votre mission consiste d’utiliser votre drone pour étudier le secteur de l’accident et les champs environnants. Vous devrez évaluer la proportion du champ qui a été contaminé et le cartographier. Vous devrez dresser un inventaire de toutes les structures qui sont situés dans la zone sinistrée et déterminer si elles ont été endommagées ou non. Pour les structures qui sont endommagées, vous êtes tenu d'estimer les volumes de débris, de sorte que les machines appropriées peuvent les éliminées. Vous êtes priés de prendre en photo les conteneurs restants et tenter d'identifier leurs types en lisant les codes inscrits. Vous êtes tenu de déclarer les gens trouvés dans la zone et de fournir une image en gros plan de sorte que les mesures d'urgence peuvent être lancées.

Votre équipe sera récompensée selon les résultats du rapport de surveillance que vous soumettrez à chaque heure de vol. Les points seront attribués selon le Guide établi et votre rapport sera jugé selon les résultats suivants:

  • La précision de la surface estimée des champs endommagés et de leurs géolocalisations. Aux fins du défi posé, les zones touchées seront détectables avec un appareil photo classique à la lumière du jour.
  • L’identification exacte, la catégorisation et la géo-localisation des structures en bon état et endommagés trouvés dans la zone sinistrée.
  • L'exactitude du volume estimé des débris de la structure.
  • Identification correcte des types de conteneurs et de leur géo-localisation.
  • Identification et de l'état des personnes dans la zone sinistrée.

Pour un exemple dont les méthodes de photogrammétrie peuvent être utilisés pour calculer les volumes, veuillez consulter http://www.simactive.com/en/uav .

La compétition se déroule en deux phases; Phase I est un rapport de conception à remettre le 11 janvier 2015 et Phase II une démonstration opérationnelle le 1er au 3 mai 2015 à Alma, Québec.

Les équipes seront classées sur la qualité et l'intégralité de leur rapport sur la conception et les résultats des démonstrations - il y aura des prix distincts pour chaque phase. Pour de plus amples informations, veuillez consulter l’ébauche du concept opérationnel ci-joint.

Objectif du concours

L’objectif est de développer et promouvoir l’expertise et l’expérience canadienne en matière de technologie des systèmes télépilotés au niveau des universités et des collèges. Même à petite échelle, les véhicules télépilotés sont des systèmes complexes nécessitant une approche et une conception bien planifiée et exécutée. De plus, la sécurité est un facteur important dans cette compétition comme dans tout autre projet de conception de véhicule.

Admissibilité

Les compétiteurs doivent être inscrits à temps plein dans une université canadienne ou un collège canadien. Les équipes peuvent être organisées à l’interne à la discrétion des membres.

Application et inscription

Les équipes intéressées à s’inscrire doivent remplir le formulaire d’inscription en pièces jointes et le faire parvenir à competition@unmannedsystems.ca.

Pour compléter l’inscription, chaque équipe est demandée de payer des frais de 200 $. Le paiement peut être effectué par chèque adressé à Unmanned Systems Canada ou par carte de crédit en contactant Robert Kendall, Directeur général de Unmanned Systems Canada au 1 613 435-0935.

Une fois l’enregistrement compéter, les équipes auront accès à l'information supplémentaire au www.unmannedsystems.ca.

Site web et courriel de la compétition

Tous les documents de compétition et les informations pertinentes sont sur le site web de la compétition (www.unmannedsystems.ca). Veuillez consulter le site web régulièrement pour les mises à jour. Tout les questions peuvent être adressées à competition@unmannedsystems.ca

Date limite d’inscription: 17october 2014

Soumission papier: 11 janvier 2015

Démonstration de vol: 1er-3 mai 2015, Alma (Québec)

Charles Vidal

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Le Miskam (un mot innu qui veut dire «trouver») est un drone qui a effectué une série de vols au Centre d'excellence des drones (CED), à l'aéroport d'Alma, en vertu d'un programme élaboré par CAE et la société israélienne Aeronautics. «C'est un projet pilote qui permettra de démontrer les applications commerciales des drones», indique Martin Daigle, gestionnaire du projet Miskam chez CAE. Le marché commercial des drones est encore relativement petit. «C'est un marché en devenir, très prometteur», fait toutefois valoir M. Daigle. Les drones permettent d'accomplir des missions très longues, beaucoup trop longues pour un équipage humain. On parle notamment de vols de plus de 24 heures. Ils permettent aussi d'exécuter des tâches redondantes, monotones, comme de surveiller systématiquement un grand territoire sans cligner des yeux, sans céder à la somnolence. Les applications potentielles sont nombreuses: le soutien aux combats contre les incendies de forêt, l'inspection des infrastructures majeures, comme les pipelines, le suivi des changements climatiques, comme l'état des glaces, etc.. Prudence Au Québec, les clients potentiels sont encore prudents par rapport aux drones. «Nous n'utilisons pas ce type de technologie à ce moment-ci, mais nous regardons si ça peut être pertinent pour certaines de nos opérations, comme l'inspection de nos barrages et de nos lignes de transport, déclare un porte-parole d'Hydro-Québec, Louis-Olivier Batty. Nous essayons de voir ses avantages, son potentiel, mais c'est sûr que c'est une technologie qui semble intéressante.» À la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU), on prévoit faire des essais avec un drone à l'issue d'un combat contre un incendie de forêt. Il s'agira de voir si tous les foyers sont bien éteints. «Nous voulons faire voler un drone de nuit, équipé d'un système de thermovision, pour voir s'il reste des points chauds», explique une porte-parole de la SOPFEU, Eloïse Richard. À l'heure actuelle, ce sont des employés de la SOPFEU qui font ce travail, au petit matin, à bord d'un hélicoptère. Il n'est pas question pour l'instant d'utiliser un drone pour combattre les incendies. «Pour les feux, nous aimons l'oeil du pilote, note Mme Richard. Le pilote est capable de nous décrire l'intensité du feu, sa distance.» Du côté du ministère québécois des Ressources naturelles et de la Faune, on s'intéresse moins aux drones, même si les secteurs du territoire et des forêts ont parfois recours à des opérations aériennes, comme faire des relevés. Nicolas Bégin, porte-parole du ministère, indique que le secteur du territoire ne prévoit pas analyser cette technologie prochainement. «Du côté de Forêt Québec, on n'utilise pas d'appareils de cette nature pour les relevés et suivis, déclare-t-il. Il pourrait cependant y avoir un certain intérêt dans un avenir encore difficile à déterminer.» Le Miskam est la version canadienne du drone d'Aeronautics, le Dominator XP, de type MALE (moyenne altitude et longue endurance). Il s'agit en fait d'un avion bimoteur de Diamond modifié et équipé de capteurs. CAE a demandé à une entreprise de Trois-Rivières, Aviatech Services techniques, de faire les travaux d'ingénierie nécessaires pour installer un certain nombre de ces capteurs. Aviatech est spécialisée notamment dans l'intégration de systèmes et dans la conversion d'avions et d'hélicoptères pour des missions spécifiques. «Dans notre travail, il n'y a pas une grande différence entre les appareils avec pilote et les drones, affirme le directeur du développement des affaires d'Aviatech, Normand Landry. La grande différence, c'est que dans le cas d'un drone, il n'y a personne à bord pour voir comment les appareils modifiés vont réagir. Mais il faut respecter les mêmes règles en termes d'aérodynamisme et de structures.» De son côté, CAE fait appel à son expertise en modélisation et en simulation, donc en un environnement synthétique, pour faire l'interprétation des données obtenues par les capteurs. «Il y a des capteurs de plusieurs types, il y a donc un peu une surcharge d'information, explique Martin Daigle. Le but, c'est d'utiliser nos technologies pour combiner tout ça, pour simplifier, pour rendre cela adaptable pour des clients spécifiques.» Il y a toutefois un élément qui ralentit l'utilisation des drones à des fins commerciales au Canada: leur intégration au trafic aérien régulier. À l'heure actuelle, un drone ne peut voler que s'il obtient un certificat d'opérations aériennes spécialisées. Le Miskam a obtenu un tel certificat, mais il s'agit d'un processus plutôt long et compliqué. Transports Canada, la Federation Aviation Administration (FAA) des États-Unis et d'autres organismes de certification sont présentement en train d'étudier une façon d'intégrer les drones. «Nous avons plusieurs séries de clients qui attendent l'autorisation d'avoir recours à des services de type drone», indique M. Daigle. L'intégration des drones n'est cependant pas pour demain, à en croire Normand Landry. «Il y en a encore pour quelques années», laisse-t-il tomber. En attendant, le CED d'Alma veut générer de l'intérêt au sujet de ces appareils sans pilote. Le CED s'est lancé dans l'aventure des drones il y a quelques années. «Nous voulions faire rouler l'économie dans la région, diversifier la base d'emploi, raconte Marc Moffat, gestionnaire de la recherche et du développement pour le CED d'Alma. Ce que nous offrons, ce sont des services pour l'opération de drones à Alma.» Grâce à une entente avec la base des Forces canadiennes de Bagotville, les drones peuvent avoir accès à l'espace aérien de la base, un espace énorme qui s'étale jusqu'au nord du lac Saint-Jean. «Selon les ententes avec Transports Canada et NAV Canada, il faut éviter les villes et les villages», indique M. Moffat. Le projet Miskam a déjà des retombées intéressantes dans la région, avec la présence des équipes de CAE et d'Aviatech. «Pour l'instant, nous avons un seul drone, mais nous sommes à la recherche d'autres opérateurs», déclare M. Moffat. Définition: Selon le Petit Robert, un drone est un petit avion de surveillance, télécommandé ou programmé. Le mot provient d'un terme anglais qui signifie «faux bourdon». http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201208/03/01-4561947-drones-lindustrie-quebecoise-veut-monter-a-bord.php

  • Hovercam-Media annonce la distribution exclusive du Lynx M

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    Hovercam-Media annonce la distribution exclusive du Lynx M

    Alma, le 10 mars 2015 – Les dirigeants du Centre d’excellence sur les drones sont fiers de vous annoncer que leur membre Hovercam-Media (St-Félicien-Normandin, Québec) a conclu une nouvelle entente internationale de distribution exclusive en territoire canadien du drone Lynx M de l’entreprise américaine Swift Radioplanes (Prescott, Arizona). Plusieurs essais de drones à voilures fixes (avion) ont été effectués jusqu’à maintenant par Hovercam-Media. Le président, M. Guy Savard, et le vice-président, M. Patrice Savard, ont misé sur le Lynx M, un appareil qui a reçu maintes fois le Certificate of Authorization (COA) de la Federal Aviation Administration (FAA) aux États-Unis, qui est l’équivalent des Certificats d’Opérations Aériennes Spécialisées (COAS) qui autorise les vols de drones au Canada. C’est plus qu’une simple entente qui naît aujourd’hui, c’est une entente de collaboration qui va permettre à Hovercam-Media d’offrir à ses clients un drone commercial haute gamme. Cette jeune entreprise, Swift Radioplanes, atteint un niveau d’excellence technologique sans pareil en misant sur un programme de recherche et développement hors pair qui dépasse les normes de l’industrie à tous les niveaux  en utilisant des matériaux et des technologies innovatrices dans la conception de leurs appareils. «La devise de Swift Radioplanes : nous vendons ce que nous utilisons, représente exactement l’esprit qui guide Hovercam-Media depuis sa création en 2013 » souligne M. Patrice Savard, vice-président et directeur de l’entreprise. Il ajoute : « le Lynx M, sera dorénavant le drone de référence à voilure fixe pour les clients et partenaires sur notre territoire nordique ». Maintenant que ce nouveau système s’ajoute à notre gamme, le département d’intégration de drones pourra ainsi recommander un appareil adapté aux besoins des clients. L’équipe de Hovercam-Media offre à ses clients une formation complète sur l’utilisation des différents capteurs utilisés pour la collecte d’informations avec l’ensemble de ses systèmes (la photogrammétrie, les rayons infrarouges, etc.) Le Lynx M a une capacité de vol de trois heures et le président de Hovercam-Media, M. Guy Savard, ajoute qu’il a personnellement assisté à un vol de plus de deux heures cinquante minutes lors de son passage à Prescott : «l’autonomie de l’appareil représente un atout majeur dans le choix de notre nouveau partenaire». Le président du Centre d’excellence sur les drones, Pascal Pilote, se réjouit de cette nouvelle : «Nous surpassons nos objectifs de développer des liens commerciaux à l’international, ce nouveau partenariat apportera de nombreux atouts pour le CED ainsi que Hovercam-media, notamment en termes de visibilité à l’étranger ».   À propos de Hovercam-Média Hovercam-Media offre des services appliqués à la cartographie et au multimédia et des solutions adaptées dans les domaines de l’agriculture, foresterie, urgence/sécurité publique, inspection de structures, surveillance et gestion environnementale. Hovercam-Media propose également le post-traitement des données recueillies. Hovercam-Media est membre du CED depuis juin 2014. Hovercam-Media est basé à l’aéroport de Dolbeau-Saint-Félicien, Québec, Canada. www.hovercam-media.com À propos de Swift Radioplanes Swift Radioplanes, créé en 2013, est le fruit d'une équipe de recherche universitaire axée sur tous les aspects technologiques liés aux drones. L'entreprise insiste sur la simplicité et la durabilité de leurs systèmes. Swift Radioplanes affirme que leur mission comporte deux volets : «Nous concevons et vendons des systèmes que nous utilisons» et «Volez de façon professionnelle, en toute sécurité, et de manière consistante». En 2013, Swift Radioplanes se sont servit du Lynx M sur l’Île de Cebu aux Philippines pour obtenir des images à haute résolution dans la foulée du typhon Haiyan. Les images ont été données et utilisées à des fins de secours et aide humanitaires. www.swiftradioplanes.com À propos du Centre d’excellence sur les drones (CED) Le Centre d’excellence sur les drones est une communauté d’intérêts et un OSBL travaillant au développement, à la gestion et à la promotion d’une gamme de services, d’expertise et de compétences liées au secteur des drones. Son siège social est situé à l’aéroport d’Alma (Québec, Canada) et ses services sont offerts à l’échelle internationale. www.cedalma.com Source: Centre d’excellence sur les drones  

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